Commentaire sur l’Œuvre Intitulée « Omar »
COMMENTAIRE SUR L’ŒUVRE INTITULÉE « OMAR »
Conférence de Samaël Aun Weor
Le Cinquième Évangile
Visiteurs qui nous ont honorés ce soir de leur présence ; nous avons écouté les délicieuses paroles d’un poème, dans la bouche d’une grande poétesse qui déclame de façon extraordinaire ; nous avons entendu résonner les instruments musicaux de notre cher Mexique, ici à Guadalajara (nous, les Mexicains, sommes enthousiasmés par les musiques de cette ville) ; nous avons présenté mon œuvre intitulée « Omar ».
Cette œuvre a été écrite de manière allégorique, symbolique. Elle pourrait être condensée dans le Drame vivant de notre Seigneur Quetzalcóatl, le Christ mexicain ; elle pourrait aussi être exprimée dans le langage d’un Krishna et même dans le délicieux langage du Grand Kabîr Jésus, le Christ.
C’est là la sortie de l’Éden, la Mort Spirituelle de celui qui mange de ce fruit interdit, dont il est dit, dans l’Éden : « Vous n’en mangerez pas ! ».
La Doctrine de la Réincarnation représentée par Omar dans différents pays de la Terre : le Tibet, la Chine, le Mexique, etc. La Résurrection d’Omar parmi des cris d’enfants innocents et de la musique mexicaine.
Voilà donc un drame qui, de vie en vie, va d’Orient jusqu’en Occident, et qui, de nouveau, prend corps au Mexique pour dire : « Vive le Mexique ! ».