Interviews à « Radio IQ »

INTERVIEWS À « RADIO IQ »

Conférence de Samaël Aun Weor

Le Cinquième Évangile

Première Interview

Question. […] ensuite, pour « radio IQ », l’interview qui suit avec le Maître Samaël Aun Weor, guide de l’Association gnostique internationale. Maître, pourriez-vous nous dire de quelle manière les programmes de l’Association gnostique se développent et comment ils se préparent ?

Maitre. C’est avec le plus grand plaisir que je vais répondre à cette très intéressante question. En réalité, notre programme d’enseignement se base sur les découvertes que nous faisons concernant des questions anthropologiques. Ces découvertes sont précisément reliées au programme et elles en sont la base. Évidemment, il existe un grand matériel didactique éparpillé un peu partout, dans des niches, des pyramides, des tombeaux et diverses pièces archéologiques.

Il est évident que nous savons extraire, grâce à des règles précises, la pensée contenue dans chaque pièce archéologique, pour le bien de nos contemporains et par amour, naturellement, envers notre chère patrie mexicaine.

Question. Bien, cette réponse est très intéressante, Maître. Maintenant, nous voudrions que vous nous fassiez la faveur de nous répondre à la question suivante : selon l’Enseignement gnostique, il existe des dimensions dans lesquelles des personnes dûment préparées peuvent faire des incursions. Pourriez-vous nous dire combien de dimensions il existe et dans combien de dimensions une personne peut-elle précisément faire des incursions et qui sont ces personnes qui ont fait des incursions dans ces dimensions ?

Maitre. Assurément, cette question me plaît beaucoup, elle est très intéressante. En vérité, on a beaucoup discuté sur la géométrie tridimensionnelle d’Euclide, elle n’a jamais été acceptée de façon dogmatique. Cependant, il ne fait aucun doute qu’il existe encore beaucoup de gens retardataires totalement embouteillés dans ce type de géométrie qui commence déjà à être démodée.

Einstein avait accepté une QUATRIÈME COORDONNÉE. C’est ce que démontre précisément sa théorie de la loi de la relativité. Il ne fait aucun doute que la quatrième Verticale est démontrée mathématiquement.

En continuant cette étude, nous dirons que nos ancêtres d’Anahuac connaissaient aussi la quatrième dimension. Si on lit attentivement certains codex, on est étonné de pouvoir y vérifier cette affirmation.

Il me vient en mémoire, en cet instant, le récit du père Duran (qui est, en soi, merveilleux). Cette narration se réfère à un épisode de la vie du célèbre empereur MOCTEZUMA. Désirant en apprendre un peu plus sur nos ancêtres, sur les ancêtres de la grande Tenochtitlan, il fit appeler Tlacaelel, son Premier ministre et il lui dit :

– Je veux apprendre des choses sur mes aînés, sur QUETZALCÓATL, sur HUITZILOPOCHTLI, sur la mère de Huitzilopochtli et sur beaucoup d’autres hommes honorables. Je souhaiterai leur rendre visite. Que sais-tu d’eux, où demeurent-ils ?

– Seigneur, répondit Tlacaelel, ton cœur est noble car je vois que tu te souviens vraiment de nos aînés ! Se rendre là où ils demeurent – dans la LOINTAINE THULÉ, sur l’ÎLE DE CRISTAL, au pôle Nord – est une chose tout à fait impossible. Le chemin est barré par de nombreuses forêts profondes, il y a des lagunes sans fond et des fauves monstrueux, personne ne pourrait arriver jusque-là. Je crois que c’est plutôt une affaire d’Enchanteurs, de Mages ou de Prêtres. Seules ces personnes pourraient arriver jusqu’à cette lointaine contrée. Cependant, il y a un grand historien dans notre royaume, tu pourrais le consulter.

L’empereur, assez ému, décida de se rendre, avec Tlacaelel, à l’endroit où demeurait l’historien du royaume.

– Vénérable vieillard, lui dit-il, je veux que tu me renseignes sur nos aînés ; où demeurent-ils, où vivent-ils ? Que sais-tu de Huitzilopochtli et de tous nos ancêtres, et de la mère de Huitzilopochtli et du grand Quetzalcóatl ?

– Puissant empereur, répondit le vénérable, ce que tu me demandes est tout à fait impossible car, maintenant, ils demeurent dans la lointaine Thulé et aucun être vivant ne peut s’y rendre. Il y a des forêts profondes et impénétrables, des lagunes sans fond, et rares sont ceux qui pourraient parvenir à cet endroit. Mais tu as 60 MAGES dans ta Cour et tu pourrais bien les consulter.

– Je vois que tu m’as dit la vérité, bon vieillard, parce que mon Premier ministre m’avait affirmé la même chose. Il le remercia et se retira.

Moctezuma convoqua alors les 60 VIEILLARDS de la grande Tenochtitlan, sages comme personne, et il leur remit des présents pour Quetzalcóatl et pour tous les ancêtres des anciens Nahuas.

L’événement fut extraordinaire. On dit que les 60 se rendirent dans un lieu éloigné où ils réalisèrent certaines cérémonies ou cultes, propres à Anahuac : ils dansèrent autour d’un point fixe, ils enduisirent leurs corps de certains onguents, et, grâce à une pure concentration de la pensée, ils pénétrèrent dans la QUATRIÈME DIMENSION.

La légende des siècles raconte qu’ils voyagèrent dans la quatrième Verticale jusqu’à la terre des aînés : l’ÎLE SACRÉE, située aujourd’hui sous les glaces du pôle Nord, le lieu où se trouve réellement la lointaine Thulé. On dit que c’est une couche géologique, ou ÎLE SAINTE, qui est toujours restée ferme, depuis le début, bien qu’elle soit, de nos jours, recouverte de glace.

Bien, ce qui est certain, c’est que selon le récit (je me rapporte toujours à lui), la narration du père Duran, prêtre catholique, ils trouvèrent là-bas (eux, les voyageurs de la quatrième Verticale) un vénérable vieillard. Ils s’approchèrent de lui et ce dernier les interrogea :

– D’où venez-vous ?

– Nous venons, dirent-ils, de la grande Tenochtitlan. Nous sommes des sujets du grand empereur Moctezuma et nous amenons des présents pour nos ancêtres.

– Bien, suivez-moi. Ils le suivirent et rentrèrent dans des enceintes merveilleuses. Mais, en chemin, leurs pieds s’enfonçaient dans le sable.

– Que vous arrive-t-il, à vous, les Mexicains ? Pourquoi êtes-vous si lourds ? Que mangez-vous ? Ils répondirent :

– Nous buvons du pulque et nous mangeons toutes sortes de viandes, nous nous enivrons.

– Ah, c’est cela qui vous rend si lourds, Mexicains !

Les Vénérables Anciens reçurent les présents et il n’est pas superflu de dire que parmi ceux qui faisaient partie des ancêtres d’Anahuac, figurait Quetzalcóatl. Et la mère de Huitzilopochtli (le visage entièrement noirci au charbon et les vêtements déchirés) dit :

– Si vous, les Mexicains, vous n’arrêtez pas le pulque et si vous continuez les sacrifices humains, sachez que, de l’autre côté de la mer, des hommes blancs et barbus viendront et ils vous réduiront en esclavage et vous détruiront (elle se référait, bien sûr, aux Espagnols).

La tradition raconte que les 60 retournèrent au royaume de Moctezuma et ils racontèrent au Premier ministre et à l’empereur tout ce qui s’était passé. Ils pleurèrent amèrement. Malheureusement, ils ne se corrigèrent pas et poursuivirent leurs orgies avec le pulque, les sacrifices humains et, enfin, avec tout ce qui arrive quand une civilisation décline. Ensuite, nous avons vu que la prophétie s’est accomplie.

Ainsi, en vérité, selon de vieilles traditions (rapportées par quelques prêtres catholiques et décrites dans des livres très sérieux), les ancêtres d’Anahuac maîtrisaient les ÉTATS DE JINAS ou YINAS, comme on appelle ces états mystiques qui sont précisément reliés à la quatrième Verticale.

Nous avons des procédés ou des méthodes que nous avons précisément appris ou que nous avons extraits de certains codex, grâce auxquels il est possible, en éduquant la FORCE DE LA PENSÉE, de pénétrer dans la quatrième Verticale.

Il ne s’agit pas de simples fantaisies, ni d’utopies, non ! C’est la pure vérité que certains d’entre nous savent déjà mettre leur corps physique dans la quatrième dimension, nous y sommes arrivés. Nous considérons donc que le monde est multidimensionnel.

Ainsi, nous espérons que, dans le futur, les gens se préoccuperont un peu plus de connaître les dimensions supérieures de la Nature et du Cosmos.

Question. Maître, l’Association Gnostique d’Études Anthropologiques et Culturelles donne précisément des cours gratuits pour toute personne qui souhaite y assister. Et donc, parmi les nombreuses bonnes choses qu’elle enseigne, on trouve précisément la manière de pénétrer dans la quatrième dimension. Mais notre question, sur ce même sujet, est dans le sens de… combien d’années d’études sont plus ou moins nécessaires pour rentrer dans la quatrième dimension ?

Maitre. Bien, chez nous le concept « TEMPS » a été éliminé et nous l’avons remplacé par le concept « ESPACE ». Évidemment, ceux qui font de grands et super efforts dans l’ÉDUCATION DES FORCES MENTALES, VOLITIVES, etc., parviennent très vite à réaliser des phénomènes reliés aux dimensions supérieures de la Nature et du Cosmos. Cependant, les paresseux, ceux qui ne se dédient pas vraiment à l’étude de leurs leçons, tardent énormément à réaliser de telles expériences avec succès.

Question. Maître Samaël Aun Weor, que pense l’Association gnostique de la Bible ?

Maitre. Nous considérons que c’est un livre sacré, nous le respectons profondément. Mais nous, les gnostiques, nous avons notre Bible. Je veux me référer, expressément, à la PISTIS SOPHIA. Cette œuvre fut trouvée sur le sol d’Égypte (c’est la pelle des archéologues qui a trouvé le papyrus). Elle a été correctement traduite en plusieurs langues. Malheureusement, elle est écrite en clés. Nous sommes en train de la dévoiler pour le bien de l’humanité. La Pistis Sophia contient les enseignements que Jésus de Nazareth a donnés à ses disciples sur le mont des Oliviers.

Le papyrus entier est écrit en copte et il est, au fond, merveilleux. Actuellement, nous nous livrons précisément au travail de dévoiler et d’expliquer clairement ce papyrus. Je suis sûr qu’il sera bénéfique pour toute la chrétienté, parce que l’on connaîtra mieux la parole du Maître.

Ici aussi, au Mexique, nous ne sommes pas en reste. Nous avons ici des codex aussi savants que le CODEX BORGIA qui appartient à l’anthropologie. Nous voulons le dévoiler, grâce aux clés que nous avons actuellement, pour le bien de l’humanité souffrante.

Ce codex contient des enseignements extraordinaires. Comme on le sait, il a été trouvé en Europe. Les étrangers pillent toujours nos richesses nationales (ils emportèrent ce codex en Europe). Là-bas, un enfant, dans un lieu, dans une maison très aristocratique d’Europe s’amusait avec le codex et une partie du texte fut même brûlée. Heureusement, seule une petite partie brûla (c’est ainsi que le codex fut sauvé). Une personne, intéressée par ces études, arriva à le sauver à temps.

Au nom de la vérité, nous devons dire qu’il contient une sagesse extraordinaire que nous ferons connaître au moment opportun et, ainsi, nous poursuivrons notre travail d’anthropologie gnostique pour le bien de toute l’humanité souffrante.

Question. Merci beaucoup Maître. Maître Samaël, selon la célèbre théorie de l’allemand Erich von Däniken, il y a eu « des astronautes » sur notre planète, il y a de cela des milliers d’années. Nous voulons vous demander ; que pense l’Association gnostique de ces vestiges si intéressants qui nous révèlent (que ce soit par la presse, par la radio, par le cinéma) qu’il y a eu des « astronautes » sur notre planète Terre ?

Maitre. Certainement, cette question touche en grande partie la préhistoire et même la géologie puisque l’on sait bien que l’une et l’autre ont changé au cours des siècles.

Par exemple, là où se trouve actuellement le golfe du Mexique, il existait une vallée magnifique, mais, à la suite de la submersion du continent atlante, cette vallée a disparu, les eaux l’ont inondée.

À d’autres époques, par exemple, il y avait une bande de terre qui allait du nord du golfe du Mexique jusqu’à l’Afrique, à travers l’ATLANTIDE. Par cette bande de terre, beaucoup de gens de couleur vinrent dans notre vieux pays, le Mexique (puisqu’il y avait, à cette époque, divers royaumes). À cette époque, l’Europe n’avait pas surgi complètement du fond des mers et l’Atlantide s’étendait du sud au nord, dans l’océan qui porte son nom : l’Atlantique. Ainsi, la géologie se modifie sans cesse.

Je dis cela et je le cite précisément parce que, dans l’Atlantide, il y avait ce que l’on pourrait appeler des « COSMO-PORTS » : des vaisseaux cosmiques, pilotés par les fameux EXTRATERRESTRES, descendaient généralement dans l’aéroport (ou cosmo-port, pour être plus clair) qui était situé près de l’une des grandes villes de l’Atlantide.

Il y avait des cosmo-ports dans plusieurs villes atlantes, mais le plus important était celui de SAMLIOS (la ville de Samlios, à cette époque, était très semblable au Paris moderne de nos jours, c’était une sorte de capitale mondiale de type culturel, super civilisée), et les habitants de l’Atlantide étaient habitués à la descente d’astronefs pilotés par des gens d’autres planètes. Ce n’était pas étrange, ce n’était pas bizarre, c’était aussi commun et courant que l’oignon ou que la pomme de terre.

Malheureusement, la civilisation atlante déclina : les gens utilisèrent les armes atomiques pour la destruction, la même chose qu’à notre époque. On voyait que l’humanité dégénérait et, alors, les vaisseaux devinrent de moins en moins fréquents.

Et quand l’humanité dégénéra totalement, quand elle se transforma en une sorte de civilisation semblable à la nôtre (par sa dégénérescence), alors les vaisseaux cosmiques brillèrent par leur absence.

Cependant, nous ne sommes pas totalement abandonnés. L’Atlantide sombra au fond des mers (cela, nous ne pouvons le nier), au cours d’épouvantables cataclysmes. Il y eut une révolution des axes de la Terre, les mers se déplacèrent et changèrent de lit et l’Atlantide, à la fin, fut détruite. Les Antilles, les Canaries, etc., sont des restes de l’Atlantide.

Mais, je le répète, nous ne sommes pas totalement abandonnés. Les vaisseaux cosmiques sillonnent toujours l’espace, ils nous rendent visite. J’ai déjà raconté plusieurs fois, en public, un cas concret qui m’est arrivé : j’ai eu un CONTACT DIRECT, personnel, avec les habitants d’autres planètes. Ce contact a eu lieu dans le « Désert des Lions », au District Fédéral. Ce fut extraordinaire !

Je me trouvais, en vérité, dans ce bois quand je fus surpris par un vaisseau qui descendit lentement jusqu’à atterrir dans une clairière du bois. Mû par la curiosité, je m’approchai pour voir ce qui se passait. Ma surprise fut grande en voyant, précisément, sur un trépied d’acier, un vaisseau extraordinaire, merveilleux.

Une petite porte s’ouvrit et, par un petit escalier, descendit un homme mince, de taille moyenne, à la peau cuivrée, aux yeux bleus, au front ample, au nez droit, aux lèvres minces, aux petites oreilles retroussées, aux mains coniques, longues (comme celles d’un François d’Assise ou d’un Antoine de Padoue). Il tenait, dans sa main droite, un appareil étrange, un instrument mécanique qui m’était inconnu, etc. Derrière lui descendit tout un équipage, parmi lequel il y avait deux dames d’un âge indescriptible.

Je tendis ma main pour le saluer et, chose curieuse, il tendit lui aussi sa main et serra la mienne. Je le saluai dans notre langue et il répondit aussi dans un parfait espagnol (chose dont je fus passablement surpris, car je ne savais pas que les « astronautes » parlaient espagnol). Enfin, il semble qu’ils aient le don des langues. C’est ce que j’ai compris puisqu’il me parla sans aucune difficulté. Je lui demandai de m’emmener sur une autre planète (« sur MARS », lui dis-je). Alors il me répondit :

– Sur Mars, dites-vous ?

– Oui, sur Mars !

– Bien, oui, c’est là, à côté. Ce fut sa réponse. Je restai perplexe.

– Là, à côté ? – lui dis-je –.

Eh bien ! Si seulement les scientifiques de notre planète Terre pouvaient voyager aussi facilement que le font ces Hommes ! Pour lui, c’est « là, à côté ».

Mes suppliques pour qu’il m’emmène furent inutiles. Je m’agrippai au trépied d’acier sur lequel se trouvait le vaisseau. Je n’avais pas envie de le lâcher. J’étais décidé à ce qu’il m’emmène où que ce soit, mais le capitaine garda le silence.

Puis tout l’équipage s’assit sur des troncs qui se trouvaient là, sur le sol, et l’une des dames, se levant, parla au nom de tout l’équipage. Elle dit :

– Si nous mettons une plante qui n’est pas aromatique à côté d’une autre qui l’est, il est clair que celle qui n’est pas aromatique s’imprégnera de l’arôme de celle qui l’est, n’est-ce pas ? Je lui répondis :

– Eh bien oui, c’est certain ! Puis elle continua :

– Il se produit la même chose avec les mondes. Des mondes avec des humanités qui allaient très mal auparavant vont très bien maintenant, parce qu’ils se sont imprégnés, peu à peu, des radiations des mondes voisins. Mais nous sommes arrivés sur la Terre, comme vous le voyez, et nous voyons qu’ici, sur cette planète, il ne se passe pas la même chose. Que se passe-t-il ici ?

Cette dame était étonnée, elle était stupéfaite. Je compris qu’elle était horrifiée de l’état de perversité dans lequel nous nous trouvons. Et, de mon point de vue, elle avait raison. Bien, je lui répondis comme je pus. Je lui dis :

– Ce qui arrive, c’est que cette planète Terre est une erreur des Dieux. Je décidai ensuite de mieux « arrondir » mon opinion, de la mûrir un petit peu, et je continuai en leur disant : c’est ainsi avec le KARMA DES MONDES.

« Karma » est un mot oriental, plutôt sanskrit, qui signifie « Loi de cause à effet » ou « d’action et de conséquence », c’est-à-dire telle action, telle conséquence, telle cause, tel effet. Il ne peut exister d’effet sans cause, ni de cause sans effet. N’importe quel effet peut aussi se transformer en cause, à l’intérieur de la « LOI DE L’ENCHAÎNEMENT SUCCESSIF », n’est-ce pas ?

Donc, la dame acquiesça de la tête, en faisant un salut respectueux. L’autre dame acquiesça aussi et tous les messieurs acquiescèrent (aussi) par un hochement de tête.

Bon, je me sentis satisfait de ne pas avoir mis les pieds dans le plat, n’est-ce pas ? Je tentai « d’arrondir » mon opinion du mieux que je pus et cela donna un résultat satisfaisant. Tous se levèrent pour retourner au vaisseau. Je vis que c’était sérieux, qu’ils s’en allaient et qu’ils ne m’emmèneraient pas (et j’avais tellement envie de m’en aller). Je décidai simplement de réitérer ma demande au capitaine. Je lui dis :

– Je suis un Homme, avec un sens parfait des responsabilités morales, je sais ce que je vous demande, capitaine. J’ai besoin d’amener des informations avec des données sur d’autres civilisations, des preuves que la vie existe dans d’autres mondes. Ces Terriens sont très exigeants, incrédules à cent pour cent, ils ne croient même pas en leur propre ombre. Je connais les Terriens, je suis un habitant de ce monde et je les connais. Eux, ils ne vous croient pas, même si vous pleurez des larmes de sang. Ils sont incrédules, matérialistes, grossiers à cent pour cent.

Bon, tout ce que je dis ne servit à rien. À la fin, le capitaine répondit (et ce fut, pour moi, comme un présent merveilleux), en disant :

– SUR LE CHEMIN, NOUS VERRONS.

Il dit cela en levant son index, l’index de la main droite. Bon, cette phrase, au moins, quelle qu’elle fût, ce fut pour moi une consolation. Je sais que ce ne sont pas des Terriens, les Terriens se moquent de moi. Eux, non, pas ces gens-là, et cette phrase, je suis certain qu’il l’accomplira. Mais, à quel « Chemin » le capitaine se référait-il ? Je compris que c’était au CHEMIN DE LA SAGESSE.

Bon, nous y sommes : nous avançons peu à peu, nous avançons dans nos investigations. Nous tentons de corriger nos défauts psychologiques pour voir si, un jour, nous réussissons à ce que le capitaine se souvienne de nous et qu’il nous emmène pour connaître d’autres mondes habités.

Après avoir dit ces mots, cet homme extraordinaire, suivi de ses gens, retourna au vaisseau. Il monta par un petit escalier, une trappe s’ouvrit et il s’y engouffra.

Je me retirai de manière convenable et sans qu’ils aient à l’exiger de moi. Je compris simplement que les radiations pourraient m’ôter la vie, n’est-ce pas ? Et je m’écartai à une certaine distance pour observer ce qui se passait. Le vaisseau tourna sur son axe et il s’éleva à une grande vitesse, jusqu’à se perdre dans l’infini.

Ainsi donc, j’ai ces informations et je vous les ai communiquées ici avec grand plaisir. Et il est clair que cette affaire fut surprenante. Pour moi, aujourd’hui, le thème des soucoupes volantes, etc., n’est plus un motif de curiosité. Je comprends que pour être emmené vers d’autres mondes habités, il faut être plus pur, plus responsable, éliminer beaucoup de défauts psychologiques, etc. Je suis en train de faire de mon mieux pour voir s’il est possible qu’en corrigeant mes défauts, je puisse un jour avoir de nouveau la visite de cet équipage. On m’en a donné l’espoir, et simplement, je suis sûr qu’ils tiendront parole parce que ce ne sont pas des Terriens.

Question. Pourvu que cela se passe ainsi, Maître ! Aimable et sympathique auditoire, de cette manière, nous avons eu beaucoup de plaisir à vous offrir, dans cette émission « Verseau 77 », de « radio IQ », cette interview avec le Maître Samaël Aun Weor, guide de l’Association gnostique internationale, qui est en visite dans la ville d’Obregón pour y donner un important cycle de conférences. Dans l’émission suivante de la série, nous vous invitons à écouter une autre interview intéressante qui nous sera accordée, avec grand plaisir, par le Maître Samaël Aun Weor. Merci beaucoup de votre attention si aimable et passez une très bonne journée.

Deuxième Interview

Question. Mesdames et Messieurs, bonsoir. Nous avons de nouveau, dans cette émission « Verseau 77 », une autre interview intéressante avec le Maître Samaël Aun Weor, guide de l’Association gnostique internationale, qui est en visite dans la ville d’Obregón pour y donner un important cycle de conférences. Bien, notre première question est donc la suivante : que pense l’Association gnostique des doctrines Yogas, telles que le Hatha-Yoga, Kundalini, etc. ?

Maitre. C’est avec le plus grand plaisir que je vais répondre à cette très intéressante question. Assurément, il existe diverses écoles de Yogas : Kundalini-Yoga, Raja-Yoga, Bhakti-Yoga, Gnana-Yoga, Hatha-Yoga, Karma-Yoga, etc. Nous ne nous prononcerons jamais, en aucune façon, contre l’une de ces branches du Yoga, mais nous sommes absolument certains que tant que nous continuerons avec nos défauts de type psychologique, quels que soient les progrès que nous réaliserons en Yoga, il est indéniable que nous continuerons toujours d’avoir la CONSCIENCE ENDORMIE.

Il me semble qu’il est indispensable de penser un peu plus à la psychologie. La psychologie offre des surprises extraordinaires. En vérité, nous, les gnostiques, nous avons une PSYCHOLOGIE DE TYPE RÉVOLUTIONNAIRE et, avant de penser au Hatha-Yoga, la RÉVOLUTION DE LA CONSCIENCE nous intéresse plus que tout.

Je suis certain que si les gens comprenaient ce qu’est le Moi, le moi-même, ils seraient remplis d’une profonde consternation. Si quelqu’un pouvait se regarder dans un miroir et se voir en entier, tel qu’il est, il fuirait épouvanté.

Parce que le Moi, en réalité, existe à l’intérieur de chacun de nous d’une manière pluralisée. Indéniablement, chacun des éléments du Moi est indésirable. En chacun de nous, il y a de la haine, de l’envie, de la paresse, de la gourmandise, de la fornication, de la violence, etc.

À quoi servirait-il que nous devenions très habiles, par exemple, en Hatha-Yoga, si nous continuons avec tous ces éléments indésirables dans notre psyché ? Il me semble mieux, au lieu de nous dédier à faire les « acrobaties » du Hatha-Yoga, de nous dédier vraiment à nous corriger, à éliminer (de nous-mêmes) nos propres défauts psychologiques.

La Conscience de l’être humain est endormie, profondément endormie ; elle est emprisonnée, disons, dans chacun des éléments psychologiques que nous possédons ; elle se trouve dans la bouteille de l’Égo, dans le Moi, dans le moi-même. On pourrait dire, en d’autres termes, que nous sommes tous plongés dans un état d’HYPNOSE COLLECTIVE.

Les gens sont endormis. Cependant, ils ignorent qu’ils dorment. Les gens sont en transe hypnotique, mais ils ignorent qu’ils sont en transe hypnotique. Ils rêvent qu’ils sont éveillés, mais ils ne sont pas éveillés. C’est seulement en désintégrant vraiment tous les éléments indésirables que nous portons à l’intérieur de nous que nous pourrions arriver à l’ÉVEIL COMPLET de la Conscience, et c’est ce qui est fondamental. Quand on s’éveille, on peut voir, entendre, toucher et palper toutes les dimensions de la Nature et du Cosmos, car nous savons bien que notre monde est multidimensionnel.

Question. Maître, dans notre précédente interview, nous vous avons entendus mentionner un mot (dont vous avez dit qu’il était sanskrit) et c’est « Karma ». Nous savons aussi, par les études que nous avons effectuées et par ce que nous avons lu, qu’il existe un autre mot : « Dharma », qui est précisément relié au premier. Mais nous vous demandons d’avoir l’amabilité de nous dire, ou plutôt, de nous donner une plus ample explication concernant ces deux mots très intéressants, qui sont tellement liés aux études que font les élèves de l’Association gnostique.

Maitre. Je vais répondre à cette intéressante question avec le plus grand plaisir. « KARMA » signifie « Loi de cause à effet » : telle cause, tel effet. « DHARMA » signifie « récompense ». On dit que les mauvaises actions pèsent sur nous, que tôt ou tard elles tombent sur nous comme un rayon de vengeance et c’est certain : une mauvaise cause doit produire un mauvais effet, une mauvaise action doit attirer une mauvaise conséquence.

Le mot « Dharma » est différent (c’est aussi un terme sanskrit) et il signifie « récompense », « gratification ». Si nous faisons le bien, nous récolterons le bien, si nous semons dans une bonne terre, nous récolterons ce que nous avons semé, c’est évident. Ainsi donc, « Karma » et « Dharma » sont des mots sanskrits très intéressants.

Question. À quelle époque l’Association gnostique croit-elle, plus ou moins, que furent construites les pyramides d’Égypte, et qui furent ces extraordinaires constructeurs ?

Maitre. Je vais répondre à cette question avec le plus grand plaisir. Assurément, les pyramides d’Égypte furent construites par les Atlantes, bien des milliers d’années avant Jésus-Christ. Nous considérons que la grande pyramide date d’environ 27 000 ans avant le Christ et que les autres ont, plus ou moins, le même âge.

Cependant, et bien que cela semble incroyable, les pyramides du Mexique sont plus anciennes. Elles ne furent pas construites, comme on le dit, en 1325. Absolument pas ! Elles sont beaucoup plus anciennes, plus anciennes que les Égyptiennes, et elles furent construites directement par les Atlantes.

Ceux qui disent que la grande Tenochtitlan fut fondée vers 1325 sont donc complètement dans l’erreur. Ceux qui affirment que ce fut en 1400 ou 1500 sont encore plus dans l’erreur, car cela coïnciderait avec la venue des Espagnols, non ?

Or, en vérité, il n’est pas possible d’édifier une civilisation aussi puissante que celle des Nahuas, une civilisation aussi extraordinaire que celle de la grande Tenochtitlan, en l’espace d’un ou deux siècles. C’est tout à fait impossible.

Ainsi, la vérité c’est que ces pyramides sont plus anciennes que celles d’Égypte, et que la grande Tenochtitlan ne fut pas fondée environ deux siècles avant l’arrivée des Espagnols, non ! La grande Tenochtitlan est plus ancienne que ce que l’on croit. Tellement ancienne… et même plus ancienne que les pyramides d’Égypte.

Ceux qui disent le contraire affirment donc des choses absurdes, parce que personne ne peut fonder une civilisation aussi puissante que celle de la grande Tenochtitlan, en l’espace d’un ou deux siècles. Il faut beaucoup de temps pour fonder une civilisation de cette grandeur.

Question. Vos paroles sont très intéressantes, Maître. Et maintenant, profitant de votre séjour dans la ville d’Obregón, nous voulons donc sincèrement vous souhaiter beaucoup de chance pour votre conférence de ce soir (qui est la troisième et la dernière). Et croyez-le sincèrement, nous avons reçu presque cent pour cent d’opinions favorables, disant que ce furent des conférences très intéressantes, très didactiques et faciles à comprendre pour notre auditoire qui, très souvent, n’est pas prêt à écouter une conférence. Et naturellement, étant donné votre capacité intellectuelle et psychique, nous allons profiter de l’opportunité pour vous poser la question suivante : très souvent, nous nous sommes demandé ce qui se passe hors de notre planète, qu’est-ce qui arrive hors de notre galaxie, mais nous oublions ce qui se passe sur notre planète. Pourriez-vous nous donner votre opinion concernant l’existence ou non du « Yéti », ce célèbre « monstre des neiges », comme l’appellent certains écrivains ?

Maitre. « L’ABOMINABLE HOMME DES NEIGES », comme on l’a qualifié, existe réellement et il a été photographié, non seulement dans l’Himalaya, mais aussi en Amérique. Il existe dans certaines forêts profondes d’Amérique du Sud, il existe (aussi) dans quelques endroits de Californie. Il y a peu de temps, une revue des États-Unis a publié précisément la photographie de « l’homme des neiges », dans une forêt profonde de Californie.

Ainsi, le « YETI » vit dans tous les pays de notre monde Terre. C’est un homme, mais on le considère comme une bête. Il n’a jamais rien fait à personne, mais on le déteste et on le poursuit pour le « délit » de ne pas vouloir entrer dans notre « super civilisation » (qui, entre parenthèses, n’a rien d’une civilisation). Mais nous sommes égoïstes : nous voudrions voir le Yéti vêtu de pantalons, avec une cravate au cou et une belle chemise, arrangé à la mode du XXe siècle, etc., mais comme le Yéti s’obstine à rester isolé, on le poursuit avec des chiens, avec des fusils de chasse, on veut lui donner la mort. Voilà la triste réalité du Yéti !

Question. Bien, merci Maître. Réellement, pour l’aimable auditoire de cette émission : « Verseau 77 », c’est une grande opportunité d’entendre cette interview, avec les paroles si intéressantes du Maître Samaël Aun Weor, qui est le guide de l’Association gnostique internationale. Les lois de la radio et de la télévision sont un peu strictes, dans le sens que la personne qui utilise ces micros ne peut alarmer l’auditoire, encore moins propager des idées qui ne sont pas positives, c’est pourquoi nous demandons de la compréhension à notre aimable auditoire par rapport à la question suivante que nous allons poser au Maître Samaël Aun Weor.

Comme nous l’avons dit auparavant, il n’est pas dans notre intérêt d’alarmer qui que ce soit, mais nous prenons simplement la réponse du Maître Samaël Aun Weor comme une chose qui doit nous intéresser, puisque nous le vivons dans cette année 1977 et nous le vivrons probablement encore, avec plus de réalité, dans 10, 15, 20 ou 30 ans. Qui sait ?

Maître, dans la fameuse convention du Mouvement Gnostique International, qui a eu lieu à Guadalajara au mois de novembre, nous avons eu l’opportunité d’écouter l’un de vos intéressants discours, dans lequel vous faites allusion à une planète qui va précisément passer, dans quelques années, très près de notre planète Terre. Ses effets, selon l’Association, se font déjà ressentir et il y a eu quelques tremblements de terre qui ont dévasté notre planète, en Russie, en Chine, aux États-Unis, en Italie, en Turquie, etc.

Auriez-vous l’amabilité de nous dire à quelle distance, plus ou moins, se trouve actuellement cette planète et à quelle époque, plus ou moins, passera-t-elle près de la Terre ?

Maitre. Il s’agit évidemment de la planète que les astronomes ont baptisée du nom de « BARNARD I ». Je crois que le nom « Barnard » vient d’un astronome qui dit avoir lui-même découvert cette planète. Cependant, avant que le nom de Barnard n’apparaisse dans le ciel, nous avions déjà amplement parlé de ce sujet, de la planète à laquelle nous nous référons.

Et nous nous souvenons précisément de Nostradamus. Il a cité lui aussi la planète qui vient et l’a baptisée du nom de « HERCOLUBUS » (Nostradamus avait ses raisons pour lui donner un tel nom).

La crue réalité des faits, c’est qu’il s’agit d’un monde du système solaire Tylar. Tout le système solaire Tylar s’approche dangereusement de notre système solaire d’Ors, car c’est ainsi que s’appelle notre système.

Hercolubus a une orbite géante et chaque fois que ce monde s’est approché de notre monde Terre, il a produit une catastrophe.

À la fin de l’ÉPOQUE LÉMURE, Hercolubus s’approcha dangereusement de notre monde Terre et le feu des volcans détruisit alors la Lémurie. De terribles tremblements de terre, comme conséquence ou corollaire de l’apparition de si nombreux volcans, firent que le vieux continent, qui était autrefois situé dans le Pacifique, sombra peu à peu, durant 10 000 ans, dans les vagues furieuses du Pacifique.

Quand Hercolubus arriva à la fin de l’ÉPOQUE ATLANTE, il se produisit une RÉVOLUTION DES AXES de la Terre : les mers changèrent de lit et les vagues furieuses avalèrent l’Atlantide. C’est le célèbre DÉLUGE UNIVERSEL cité dans de si nombreuses légendes religieuses.

En cet instant précis, Hercolubus arrive de nouveau. Il voyage à une vitesse extraordinaire à travers l’espace, en suivant son orbite. Évidemment, en s’approchant à une certaine distance, il sera visible pour tout le monde, d’un simple regard et en plein jour.

Il est six fois plus grand que Jupiter, le titan de notre système Solaire, et des milliers de fois plus grand que la Terre (c’est un monstre de l’espace).

Quand Hercolubus s’approchera, la première chose qui jaillira à la superficie, attiré par la force magnétique de cette planète, sera précisément le feu liquide de l’intérieur de la Terre. Celui-ci brûlera l’écorce de toute la planète Terre. L’écorce géologique brûlera et tout ce qui est vivant sera donc incinéré.

Et lorsque Hercolubus se sera rapproché au maximum, il se produira une RÉVOLUTION DES AXES de la Terre, les mers changeront de lit et les terres actuelles seront submergées au fond des océans.

Ainsi, en réalité, une GRANDE CATASTROPHE s’approche. Les astronomes de tous les observatoires du monde Terre ont déjà tracé les cartes de la grande catastrophe. Dans notre institution, nous avons une carte qui a été faite, non pas par nous, mais par les observatoires, une carte hautement mathématique, scientifique, sur la grande catastrophe. C’est une carte cosmographique merveilleuse.

Avec cette carte, nous nous rendons compte qu’Hercolubus affectera, en premier lieu, notre planète Terre et, en deuxième lieu, Mars, Uranus et Jupiter, mais le principal « impact », c’est notre monde Terre qui va le recevoir. Ainsi, cette civilisation est appelée à périr dans très peu de temps.

Les Mayas ne sont pas aussi ignorants que beaucoup d’hommes cultivés le supposent. Il y en a qui pensent que les gens du MAYAB ne connaissaient rien de l’astronomie ou des mathématiques, etc., et ils se trompent.

Si je donnais à un Maya des calculs mathématiques à faire pour rivaliser avec le meilleur mathématicien au monde ou avec n’importe quel ordinateur, je suis certain qu’avec quelques grains de café et d’autres de maïs, il ferait des opérations qui surprendraient tout le monde, plus vite qu’aucun ordinateur. Aujourd’hui encore, ils conservent leurs systèmes de calcul.

Les Mayas affirment, selon leurs calculs mathématiques, que ce que nous sommes en train de dire sur Hercolubus et la grande catastrophe se produira dans le « KATUN-13 ». Pour eux, les 13 katuns sont une chose très sacrée. Jusqu’à maintenant, leurs 12 katuns se sont accomplis au pied de la lettre et ils attendent la grande catastrophe pour le Katun-13.

On a posé à un vieillard maya la question suivante :

– Ton fils le verra-t-il ? Il répondit :

– Non, mon fils ne le verra pas !

– Ton petit-fils le verra-t-il ?

– Oui, mon petit-fils, dit-il, le verra !

À quelle époque est le Katun-13 ? Les Mayas disent que « le Katun-13 commence en 2043 ». De sorte que la grande catastrophe, selon eux, arrive avec le Katun-13. Et c’est très intéressant.

Question. L’émission est terminée.