L’Animal Intellectuel, l’Homme et le Surhomme
L’ANIMAL INTELLECTUEL, L’HOMME ET LE SURHOMME
Conférence de Samaël Aun Weor
Le Cinquième Évangile
Mesdames et Messieurs, nous allons commencer, ce soir, notre conférence. Assurément, à l’intérieur de chacun de nous, il y a une énigme que nous devons connaître. D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Quel est le but de notre existence ? Pourquoi existons-nous, pour quelle raison ? Ces interrogations nous invitent à réfléchir.
Si nous arrivions à nous connaître nous-mêmes, nous connaîtrions le monde et l’Univers. Il est donc nécessaire d’accomplir la maxime de Thales de Milet : « Nosce te Ipsum » (Homme, CONNAIS-TOI TOI-MÊME et tu connaîtras l’Univers et les Dieux).
Dans la Sagesse d’Anahuac, on parle de l’OMEYOCAN, le Lieu Deux, où tout est Deux, pour se faire Un et se savoir Deux.
Lorsqu’on investigue sur ce qu’on appelle l’Omeyocan, on arrive, indiscutablement, au NOMBRIL DE L’UNIVERS. En réalité et en vérité, tout ce qui surgit de l’Omeyocan apparaît sous la forme d’une sphère. Les SPHÈRES se dédoublent vers l’extérieur et ensuite elles se réinversent de nouveau vers l’intérieur, jusqu’au point de départ originel, vers l’Omeyocan.
« Les Sphères sont réversibles », comme dirait le Président Diplômé José Lopez Portillo, dans son œuvre magistrale intitulée « Don Q ». « Les Sphères se multiplient vers l’extérieur, vers l’intérieur et vers les côtés », dit le citoyen Président Lopez Portillo, et c’est ainsi, et ainsi ce sera. Les Sphères se dédoublent pour ensuite rentrer en elles-mêmes et se dissoudre dans l’Omeyocan.
Ce Monde, notre Terre, surgit de l’Omeyocan comme une SPHÈRE purement MENTALE, et il se dédoubla jusqu’à apparaître sous la forme physique actuelle. Bien plus tard, étant donné que les sphères sont réversibles, « notre monde se repliera pour se dissoudre dans l’Omeyocan ». C’est ce qu’enseigne la Doctrine de Quetzalcóatl, c’est ce qu’expose le citoyen Président José Lopez Portillo, dans son œuvre magistrale intitulée « Don Q ».
Il convient que nous analysions ces questions, avant d’aborder le thème transcendantal du Surhomme. En partant d’affirmations aussi transcendantales, nous parviendrons à des conclusions merveilleuses.
Évidemment, notre monde, avant d’apparaître de manière sensible, existait dans les DIMENSIONS SUPÉRIEURES de la Nature et du Cosmos. Indiscutablement, tout ce qui est, a été et sera, y compris l’organisme humain, a dû passer par un processus dans les Dimensions Supérieures de la Nature, avant de se rendre sensible dans ce Monde Tridimensionnel d’Euclide.
C’est précisément ce qui dérange tant l’Anthropologie Matérialiste. Les partisans de Darwin et de Huxley, de Haeckel et de Marx ne veulent pas comprendre que le Monde Tridimensionnel d’Euclide n’est pas tout.
Il est évident que le point mathématique, en se déplaçant, devient une ligne. La ligne, en entrant en action, en se déplaçant elle-même, devient une surface. La surface, en tournant sur elle-même, devient un volume. Le volume, à son tour, se transforme en hypervolume. C’est un raisonnement correct qui dérange les fanatiques de la Dialectique matérialiste.
Le point mathématique nous permet d’avoir un raisonnement objectif ; mais, si nous remplaçons le point mathématique par le « cher Moi », alors nous ne comprendrons pas le Mystère de la Création. Le Moi nous rend lourds et même épouvantablement ridicules ; le Moi n’est autre qu’une somme de passions, de haines, d’égoïsmes, de théories, d’envies et de peurs, de luxure, de colère, etc. Il faut vraiment que nous soyons sincères dans l’analyse, chercher le chemin de la Vérité, coûte que coûte.
Si nous acceptons une TERRE PROTOPLASMIQUE surgissant du Chaos, nous sommes en bonne position pour connaître Cela qui est la Vérité. Évidemment, avant que ce monde n’existe comme un simple Protoplasme, il a dû se développer dans les Dimensions Supérieures de l’Univers. Ceci, parce que le Monde Tridimensionnel d’Euclide n’est pas tout. Si nous nous bornions uniquement au Monde Tridimensionnel d’Euclide, nous tomberions dans l’erreur, nous resterions embouteillés dans la Dialectique Matérialiste.
Bien que les Chinois qualifient les Russes de « révisionnistes », la crue réalité des faits c’est qu’en Russie la Dialectique de Marx s’avère maintenant périmée, désuète.
Maintenant, ils font de meilleures recherches : ils ont réussi à découvrir le FOND VITAL de l’organisme humain ; ils ont pu constater clairement que le corps physique n’est pas tout, que nous avons un double organisme.
Ils ont donné à celui-ci la dénomination très spéciale de : « CORPS BIOPLASTIQUE » (c’est son nom). Ils l’ont photographié, il est relié à l’organisme vivant ; maintenant, ils sont en train de l’étudier à l’extérieur de l’organisme vivant, et, en conséquence ou corollaire, la Dialectique matérialiste est tombée en poussière devant le verdict solennel de la conscience publique.
Mes amis, ayant ainsi préparé le thème du Surhomme, je poursuis.
La Première Race qui apparut à la surface de la Terre fut la RACE PROTOPLASMIQUE. En matière d’Anthropologie, nous acceptons le Protoplasme. Pas cette « pincée de sel » de Haeckel (bonne pour un Molière et ses caricatures), nous acceptons le Protoplasme […] la Race Protoplasmique Polaire qui vivait autrefois sur la calotte polaire du Nord. La physionomie géologique de notre monde était alors différente : les pôles étaient dans la zone équatoriale et l’Équateur aux pôles.
Il se peut que cela dérange trop les fanatiques du Matérialisme athée, mais c’est dûment prouvé jusqu’à satiété, grâce à certains calculs mathématiques exacts.
Et justement, de nos jours, les partisans du Matérialisme sont en train de voir avec horreur que leurs utopies s’effondrent, qu’elles tombent en poussière ; que les tours de leurs opinions sont réduites en cendres, et ils souffrent trop car ils adorent le DIEU MATIÈRE.
L’heure est venue pour nous de réfléchir profondément !
Indiscutablement, les Hommes Protoplasmiques étaient différents. Il serait absurde de supposer qu’ils avaient la consistance physique actuelle. Si nous disions qu’ils étaient plutôt faits d’une Substance Protoplasmique, je suis sûr que nous ne mentirions pas.
Qu’ils aient eu une autre forme de multiplication de l’espèce ? L’organisme humain le démontre. Nous savons bien que les cellules se multiplient dans notre organisme au moyen de la DIVISION CELLULAIRE.
Nous avons bien dû hériter de ce système de multiplication cellulaire de quelque part. Oui, en réalité, nous ne pouvons le nier : nous l’avons hérité de la Race Protoplasmique. Ces organismes se divisaient en un ou deux et même trois rejetons qui pouvaient continuer à s’alimenter au sein du Père-Mère. « Absurde ! », dira-t-on. Alors, il va falloir qualifier d’absurde la cellule vivante qui se multiplie de cette manière.
Beaucoup plus tard, surgirent les HYPERBORÉENS, race qui se multiplia au moyen du SYSTÈME DE BOURGEON ou BOURGEONNEMENT : n’importe quel bourgeon de l’organisme humain surgissait à un instant déterminé et celui-ci continuait à vivre du Père-Mère.
Enfin, apparut la Race LÉMURIENNE sur le Continent Mu ou Lémur, accepté par M. Darwin. Ce Continent existait dans les eaux tourmentées du Pacifique.
La Race Lémurienne était HERMAPHRODITE. Des preuves, des démonstrations ? Vous les avez, mes chers amis, dans votre organisme même : nous savons bien que les mamelons de l’homme sont des glandes mammaires atrophiées ; nous savons bien que le clitoris de la femme est un phallus atrophié et ramassé, avec des ligaments nerveux. Voulez-vous plus de preuves ? Ce serait absurde d’exiger plus de preuves alors que nous les avons dans notre organisme humain.
Dans le temps, se sont succédées des choses extraordinaires. Que la race humaine se soit divisée en sexes opposés, avant la disparition du Continent Lémurien, c’est quelque chose que nous ne pourrions absolument pas réfuter. Les Écritures hébraïques elles-mêmes nous disent qu’Adam vivait seul au Paradis Terrestre. Cet Adam de la Mythologie hébraïque n’est qu’un symbole ; il fait référence à l’humanité antique.
Avant que l’humanité se soit divisée en sexes opposés, existait l’ADAM-SOLUS, mais, en vérité, ÈVE fut sortie de la « côte » d’Adam. Nous ne devons pas penser à une Ève anthropomorphique, à une femme étrange, non ; pensons à l’Éternel Féminin.
Indiscutablement, au cours du temps, les sexes se divisèrent peu à peu. Que la reproduction en Lémurie se soit faite par GEMMATION ? C’est certain ! Indiscutablement, le Mâle-Femelle expulsait toujours un œuf, il était toujours expulsé de l’ovaire. C’était un œuf parfait. Lorsqu’il s’ouvrait, il en surgissait une nouvelle créature qui avait le pouvoir de se déplacer immédiatement, le pouvoir de marcher.
Cependant, à travers le cours des siècles, des enfants naquirent avec un sexe plus développé que l’autre, et des âges entiers passèrent avant que les sexes ne se soient divisés.
Lorsque l’humanité se divisa en SEXES OPPOSÉS, la COOPÉRATION POUR CRÉER fut alors nécessaire. Avant qu’elle ne se soit divisée en sexes opposés, il est évident (et tout le monde peut le comprendre) que cet ovule qui sortait de l’ovaire de la Race Lémurienne était merveilleusement fécondé, puisqu’il était sorti d’un organisme hermaphrodite.
Mais quand l’humanité se divisa en sexes opposés, cet ovule sortait sans être fécondé. Alors, la coopération sexuelle devint nécessaire pour créer et créer de nouveau.
À cette époque, le sexe était considéré comme quelque chose de sacré. La race humaine faisait de très longs voyages dans le Continent Lémurien (guidée par ses dirigeants spirituels), vers les Temples où elle devait recevoir le SACREMENT SEXUEL.
Hommes et Femmes s’accouplaient dans les cours sacrées des Temples de Mystères, et l’acte sexuel était effectué sous la direction des sages Lémures. À cette époque, personne n’aurait osé réaliser l’acte sexuel en dehors du Temple.
La Première, la Seconde et la Troisième Race furent, en réalité, des races d’Hommes dans le sens le plus transcendantal du terme. L’être humain parlait dans le LANGAGE UNIVERSEL et, en conversant dans cette langue, il réalisait des prodiges. Grâce au Pouvoir du Verbe, il dominait le feu, l’air, l’eau et la terre.
Les SENS DE PERCEPTION ne s’étaient pas atrophiés. Lorsque l’homme levait les yeux pour regarder les étoiles, il voyait les mondes entourés d’une auréole très spéciale et il voyait aussi d’autres humanités planétaires avec lesquelles il communiquait télépathiquement.
À cette époque, tout être humain pouvait percevoir complètement la quasi-totalité d’un HOLTAPAMNAS (un Holtapamnas équivaut à cinq millions et quelques de tonalités de couleurs). L’oreille percevait des sons qui sont aujourd’hui inaudibles pour nous ; ils utilisaient beaucoup de voyelles et de consonnes.
De vieilles traditions que nous avons trouvées dans des œuvres très anciennes nous disent que les Lémures utilisaient 300 consonnes et 51 voyelles, c’est-à-dire qu’ils possédaient un pouvoir d’élocution supérieur. Ils avaient aussi, indubitablement, des sens des millions de fois plus développés que nous.
La Race Lémurienne était parfaite, dans le sens le plus complet du terme. Cette capacité d’élocution Lémurienne se perdit au fil des siècles, au fur et à mesure que l’être humain dégénérait.
Lorsque les anthropologues matérialistes disent que « à notre époque, nous sommes arrivés au maximum de la perfection », ils mentent vraiment, on voit qu’ils ne savent rien sur l’Anthropologie, qu’ils n’ont pas étudié à fond les pierres antiques, les vieux manuscrits, les antiques pyramides, les niches, les sépulcres, etc., qui existent de toutes parts.
Il y a des pierres (comme celles que l’on trouve à un certain endroit du Pérou) où il est démontré, jusqu’à satiété, que des civilisations des millions de fois plus puissantes que la nôtre ont existé et à l’époque mésozoïque ! L’anthropologie matérialiste accepte-t-elle cela ? Jamais ! Ils n’en démordront pas, c’est comme ça. Mais, les faits sont les faits, et devant les faits, nous devons nous incliner, coûte que coûte !
Il y a des PROCESSUS ÉVOLUTIFS et INVOLUTIFS. Si nous disions que tout est Évolution, nous mentirions, nous tomberions dans le Dogme de l’Évolution. Il existe aussi des processus involutifs.
Des démonstrations ? Il y en a beaucoup ! Le germe qui évolue, c’est clair : regardons comment la tige se dresse millimètre par millimètre, comment elle se développe, comment poussent les branches et les feuilles, ça c’est l’Évolution ! Regardons-la lorsqu’elle donne des fruits : comme elle est belle, voilà l’évolution !
Mais, plus tard, l’arbre se dessèche, les feuilles tombent, les fleurs disparaissent comme si elles n’avaient été qu’un rêve et, finalement, l’arbre devient un tas de bois, c’est l’Involution !
Il est absurde de vouloir accommoder (de force) les processus involutifs à l’intérieur de notre cher dogme de l’Évolution. Nous avons besoin d’un Mental souple, ductile, capable de penser avec clarté.
Mais ne nous éloignons pas trop du sujet ; retournons à l’Homme Lémure. Je disais que les TROIS PREMIÈRES RACES FURENT DES HOMMES ; cela doit nous inviter à réfléchir.
Malheureusement, dans la vie se produisent des choses insolites : à la fin de l’Époque Lémurienne, les Hommes Véritables DÉGÉNÉRÈRENT. Avant la dégénérescence (je répète ce que j’ai déjà dit, bien que cela me fatigue), « la reproduction était considérée comme quelque chose de sacré ». Hommes et femmes copulaient dans les cours pavées des Temples, sans jamais arriver à ce que la physiologie organique nomme « spasme » ou « orgasme ». C’est-à-dire que L’ÉJACULATION de l’Ens Seminis N’EXISTAIT PAS car, comme disait Paracelse : « À l’intérieur de l’Ens Seminis se trouve l’Ens Virtutis du Feu ».
N’importe quel spermatozoïde mature s’échappait des glandes endocrines pour réaliser une fécondation. C’est ainsi que se reproduisaient les Êtres Humains Réels, les Hommes Véritables, avant leur dégénérescence.
Comment le savons-nous ? Par tradition : au fil des siècles, nous avons hérité de cette Connaissance Gnostique. On ne l’avait pas publiée ? Nous sommes en train de la publier. Que l’humanité actuelle ne l’accepte pas, c’est tout à fait normal, car ce système de reproduction n’était utilisé que par les Véritables Êtres Humains qui ont existé sur la face de la Terre.
Mes amis, ne vous scandalisez pas. Ce soir, je pense vous parler de choses terribles, mais je vous demande d’avoir de la patience, de savoir écouter. Nous sommes, je le sais, entre hommes et femmes cultivés. Je crois fermement que nous nous sommes réunis ici dans un seul but : pour savoir quelque chose, oui, et ce soir on va le savoir coûte que coûte.
Les Véritables Êtres Humains (je le répète, ceux de la Lémurie) dégénérèrent à la fin de la dernière sous-race. Alors ILS SE MÉLANGÈRENT AVEC DES BÊTES (horrible, mais vrai).
C’est ce que nous disent les vieux CODEX ANTIQUES. Il y a des traditions, au Tibet, en Chine, en Inde, il y a des pierres, il y a des monolithes, il y a des codex qui nous l’affirment et nous, en tant qu’étudiants en Anthropologie, nous ne pouvons les taire.
Que les Hommes et les bêtes se mélangèrent, c’est vrai ! Cela arriva, naturellement, à des époques très archaïques de notre monde, dans le Continent Lémurien. Il n’est pas question de l’Homme du Paléolithique, non ; c’était plutôt l’Homme du Pliocène, le résultat de ces […] mélange d’Hommes réels avec des bêtes de la Nature.
La CIVILISATION ATLANTE fut puissante, elle grandit. Les « hommes » (je parle, cette fois, de manière conventionnelle) eurent des avions atomiques, des navettes qu’ils envoyèrent sur la Lune. Bien avant que nos astronautes ne foulent la Lune, les Atlantes l’avaient déjà fait. Ce n’est pas la première fois que les êtres humains arrivent sur la Lune ; ils y sont déjà parvenus dans le passé, et si nous croyons être les premiers, il est certain que nous nous trompons.
Le Continent Atlante surgit après la Lémurie et sombra parmi les vagues furieuses de l’océan qui porte son nom.
La Lémurie fut encore plus grande que l’Atlantide : elle occupait tout l’océan Indien et la Malaisie et elle allait même jusqu’en Australie, et, au Sud, elle avançait tout près de l’endroit où se trouve maintenant l’Amérique du Sud, mais elle disparut sous les vagues, après 10 000 ans d’incessants tremblements de terre. Et lorsque l’Atlantide surgit de l’océan, la Lémurie était déjà à sa fin.
Mes amis, les ATLANTES (qui vinrent à la suite des Lémures) n’étaient plus des humains dans le sens le plus complet du terme ; ils étaient simplement des ANIMAUX INTELLECTUELS et c’est d’eux que nous provenons.
L’Atlantide sombra à cause d’une révolution des axes de la Terre, après avoir eu une civilisation puissante. Ils eurent des automobiles mues par l’énergie atomique ; des amphibies, qui pouvaient aussi bien naviguer que glisser sur la terre ou flotter dans l’atmosphère. Ils faisaient marcher leurs usines avec la force nucléaire, ils apprirent à utiliser l’énergie solaire et ils eurent des paquebots volants.
Sur certaines pierres que l’on a trouvées au Pérou, on a pu constater (par les témoignages de celles-ci) qu’ils connaissaient la science des transplantations. Ils réussirent même à transplanter des cerveaux ; ils transplantèrent aussi, avec succès, des cœurs, des reins, des foies, etc., et ils n’eurent pas d’échecs dans leurs transplantations.
Nous, les ARYENS, ne sommes pas allés si loin. Jusqu’à présent, les transplantations n’ont pas été un véritable succès ; surtout, les transplantations du cœur n’ont pas donné les résultats attendus. Rares sont ceux qui ont pu survivre quelques années à ces transplantations.
Mais les Atlantes transplantèrent non seulement des cœurs, mais même des cerveaux ; hauteurs auxquelles nous ne sommes pas encore arrivés, et cependant, nous nous prenons pour le centre de toutes les civilisations passées et futures. Comme nous nous trompons ! La vraie réalité, c’est que nous avons une civilisation qui n’est pas la première et qui ne sera pas non plus la dernière.
Évidemment, nous devons être plus révolutionnaires dans notre façon de penser. Croire que notre civilisation est la plus puissante s’avère faux. À l’heure actuelle, nous nous déplaçons encore dans des petites voitures qui roulent à l’essence et nous nous croyons super-civilisés.
Il faut prendre la peine de réfléchir un peu : nous sommes des descendants des Atlantes, et les Atlantes, à leur tour, furent les descendants du mélange d’hommes et de bêtes.
Mes amis, ce que je suis en train de vous dire s’avère un peu cru et beaucoup n’aiment pas ces rudesses, mais il vaut mieux être franc. On a trompé la race humaine, on lui a fait un mal épouvantable en lui disant qu’elle est parvenue à l’état d’Homme.
En vérité, je crie, de toutes les forces de mon Âme, que L’HOMME N’EXISTE PAS ENCORE ! Et je ne suis pas le seul à le crier, c’est ce que crient les Mayas ; et ils l’ont mis par écrit et même sur les propres marbres invaincus du Musée Anthropologique de Mexico (District Fédéral).
Rappelons-nous l’œuvre magistrale de Lopez Portillo, ce passage précieux où beaucoup de gens s’adressèrent à Quetzalcóatl en lui disant : « Seigneur, Quetzalcóatl s’éteint, Quetzalcóatl s’éteint ! ».
Rappelons-nous cet autre passage extraordinaire et formidable que l’on trouve dans l’œuvre de Lopez Portillo, lorsque quelqu’un, parlant en plein jugement contre Quetzalcóatl, dit : « Quetzalcóatl n’aime pas Tula, Quetzalcóatl aime les Hommes et les Hommes n’existent pas ».
Cela a été dit en plein milieu de l’époque des Toltèques et cela est resté à jamais écrit dans les codex. C’est pourquoi Monsieur le Président José Lopez Portillo en parle aussi dans son œuvre magistrale.
La vraie réalité, c’est que les Hommes n’existent pas ; je suis d’accord avec ce qui s’est dit à cette époque. Maintenant, existe « l’animal intellectuel », mais « l’animal intellectuel » n’est pas l’Homme.
Si nous mettons un Homme face à un « animal intellectuel », nous verrons qu’ils se ressemblent physiquement, mais observons leurs PROCESSUS PSYCHOLOGIQUES. ILS SONT DIFFÉRENTS. Car les processus psychologiques de l’Homme sont une chose et les processus psychologiques de « l’animal intellectuel », erronément appelé « Homme », sont autre chose.
À la Faculté de Médecine, un professeur a dit : « Nous sommes des mammifères intellectuels ». Les étudiants ne protestèrent pas, moi non plus. Je suis d’accord avec ce qu’a dit le professeur.
Si nous étions des Hommes, nous n’en serions pas à nous massacrer les uns les autres sur les champs de bataille ; si nous étions des Hommes, nous ne serions pas là à assassiner les dauphins dans les vagues déchaînées de l’océan ; si nous étions des Hommes, il n’y aurait pas de chasseurs qui progressent dans les montagnes pour éliminer les créatures de la Nature ; si nous étions des Hommes, nous ne serions pas des athées matérialistes, des ennemis de l’Éternel ; si nous étions véritablement des Hommes, dans le sens le plus complet du terme, nous ne serions ni ivrognes, ni adultères, ni fornicateurs, ni assassins, ni pervers.
L’Homme est l’Homme. L’Homme est le ROI DE LA CRÉATION ; et si nous ne sommes pas les Rois de nous-mêmes, encore moins pouvons-nous être des Rois de la Création. Il est inconcevable qu’un Roi ne soit pas véritablement Roi ; il n’est pas possible de concevoir un Roi de la Nature qui ne soit pas Roi de lui-même.
Si nous ne sommes pas capables d’utiliser les Élémentaux, si nous ne sommes pas capables de commander au feu des volcans ou aux ouragans ou aux eaux tumultueuses des océans, si nous ne sommes pas capables de dominer les tremblements de terre, nous ne sommes pas des Hommes, parce que l’Homme est le Roi de la Création.
Ainsi, nous sommes des Rois ou nous n’en sommes pas. Jusqu’à présent, nous avons seulement démontré que nous sommes victimes des circonstances ; nous ne sommes pas des Rois de la Nature, nous ne sommes pas non plus des Rois de nous-mêmes.
Par conséquent, « l’Homme (comme disent les vieux codex d’Anahuac) n’existe pas encore ». Cependant, LE SOLEIL est en train de réaliser en ce moment une merveilleuse expérimentation dans le tube à essai de la Nature : IL VEUT CRÉER DES HOMMES.
Durant l’époque d’Abraham, un certain nombre d’Hommes fut créé. Durant les huit premiers siècles du Christianisme, il y eut une récolte d’Hommes.
En ce moment de crise mondiale et de banqueroute de tous les principes, en ce moment où nous nous trouvons confrontés au dilemme de l’ÊTRE ou du NE PAS ÊTRE de la Philosophie, le Soleil est en train de faire un nouvel essai dans le tube du laboratoire de la Nature, il veut créer des Hommes.
C’est l’objectif de toute Race. Le Soleil a créé toutes les Races pour faire sa fameuse expérimentation ; mais quand une Race ne sert plus pour une telle expérimentation, elle est immédiatement détruite. Notre Race est devenue terriblement athée, matérialiste, fornicatrice, épouvantablement perverse, et c’est pourquoi elle va être détruite, coûte que coûte.
En réalité et en vérité, le moment est venu, pour nous, de coopérer avec le Soleil afin que surgisse l’Homme en nous.
Avant tout, nous avons besoin de la DISPONIBILITÉ ENVERS L’HOMME ; il est nécessaire que l’Homme se forme à l’intérieur de nous, comme le papillon à l’intérieur de la chenille.
Nous possédons des GERMES pour l’Homme : ils sont déposés dans nos glandes sexuelles. Si nous coopérons avec le Soleil, ces germes se développeront et, à l’intérieur de nous-mêmes, dans les profondeurs de notre psyché, naîtra l’Homme véritable.
Avant tout, si nous voulons que surgisse l’Homme à l’intérieur de nous, si nous voulons que ces germes se développent dans notre constitution biologique et psychosomatique, il est nécessaire que nous acceptions le système sexuel des Hommes, le système de KRIYASHAKTI, celui qu’haïssent tant les écoles de type pseudo-ésotérique et pseudo-occultiste, celui qui fait tant horreur à quelques Mystiques égarés. Le système de reproduction humaine, comme je l’ai déjà dit, est grandiose.
J’ai lu quelque chose dans « Don Q », l’œuvre extraordinaire de notre Président Lopez Portillo ; il disait la chose suivante : « Qu’il est douloureux le chemin qui conduit à la fécondation, perdre ou consumer tant de millions de spermatozoïdes pour une seule fécondation ! ».
En vérité, je crois qu’entre le gaspillage, précisément, et l’avarice de forces ou de pouvoirs, nous devons appliquer la LOI DE LA BALANCE. C’est ce que faisaient les Lémures : ILS N’ARRIVAIENT JAMAIS À L’ÉJACULATION SÉMINALE.
Je le répète, un quelconque spermatozoïde pouvait s’échapper de manière automatique pour rendre une matrice féconde ; alors, comme résultat, existait l’Homme Véritable avec des Pouvoirs sur le feu, sur l’air, sur l’eau et sur la terre parfumée ; et il parlait le Verbe de Lumière qui, comme une rivière d’or, coule toujours sous l’épaisse forêt du Soleil.
C’était une époque différente, c’était l’Âge des Titans, c’était l’époque où jaillissaient lait et miel des rivières d’eaux pures de vie. À cette époque, il n’existait ni « le mien » ni « le tien » ; tout était à tous et chacun pouvait, sans nulle crainte, manger de l’arbre du voisin.
L’humanité était innocente et parfaite : elle conversait avec les Dieux de l’Aurore et pouvait commander aux Élémentaux ; alors les tempêtes servaient de tapis à ces colosses qui se déplaçaient, imposants, à la surface de la Terre.
C’était l’ÂGE D’OR, l’Âge de la Lumière, l’Âge de l’Amour. À cette époque, il n’y avait pas de guerres, de haines ni de perversités, comme il y en a maintenant.
À cette époque, le Soleil de la Vérité brillait dans tous les Mentals et les Roses de l’Esprit se montraient galantes et très belles sur le bord du chemin ; tout était parfumé de Spiritualité, le matérialisme athée n’était pas encore apparu dans ce monde malheureux, ni le crime, ni le délit, ni toutes ces monstruosités qu’on voit de partout, ici et là, aujourd’hui.
C’était l’époque des Titans, c’était l’époque des Édens, c’était l’époque de la Véritable Félicité, authentique ; il n’existait pas de frontières, il n’existait pas de haine, tout était amour et on vénérait le Soleil pour le pouvoir qu’il a de nous donner la vie ; on le vénérait de la même façon que Zarathoustra l’adorait ; on le vénérait de la même façon que les Fils de l’Arcadie avaient coutume de vénérer les Pouvoirs Créateurs de l’Univers.
C’était une époque différente, mes chers amis. Il y avait un véritable bonheur dans tous les cœurs car l’Homme commandait aux Élémentaux, il vivait dans de riches palais et il n’y avait pas la faim parmi les multitudes. C’était l’Âge des Édens millénaires.
Mais lorsque l’être humain mangea du fruit défendu, de celui dont on lui avait dit : « vous n’en mangerez pas », alors il perdit ses précieuses facultés, il […] il devint misérable, il dut errer, prodigue, de ville en ville, il abandonna le Jardin des Hespérides, la symbolique THULÉ, l’Éden hébraïque, il se mit à souffrir de partout terriblement, jusqu’à nos jours. C’est pourquoi l’on dit, dans la Mythologie hébraïque : « Tu travailleras à la sueur de ton front, pour entretenir ta femme et tes enfants » ; et à elle, on dit : « Tu enfanteras dans la douleur ».
Grande fut la dégénérescence de l’Homme lorsqu’il renversa le Vase d’Hermès Trismégiste, lorsqu’il accepta la génération animale, lorsqu’il devint un monstre de perversité !
Si nous acceptons le système de reproduction de Kriyashakti, celui des Hommes réels, celui des Hommes véritables qu’il y a eu dans le monde, les germes de l’Homme réel se développeront à l’intérieur de nous-mêmes et nous nous changerons en Hommes.
Quelque part, dans un codex d’Anahuac, on lit une phrase qui dit : « Les Dieux ont créé les Hommes en bois, et après les avoir créés, ils les firent fusionner avec la Divinité ». Mais il ajoute aussi : « Les Hommes ne réussirent pas tous à fusionner avec la Divinité ». Cela me rappelle Joseph et Marie dans l’Évangile Christique biblique ; lui qui était charpentier pour gagner sa vie ; cela me rappelle aussi beaucoup d’autres « CHARPENTIERS » des différentes mythologies.
Assurément, il est nécessaire d’être un Maître des Arts, un Maître du Grand Œuvre, un homme véritablement disposé à se sacrifier, en renonçant à tous les plaisirs de la bestialité, pour pouvoir un jour parvenir à l’union avec le Divin.
Quand je parle du « DIVIN », je ne veux pas me référer à un Seigneur, quelque part derrière un nuage, rempli de fureur contre cette triste fourmilière humaine. Quand je parle du « Divin », je veux me référer à un QUETZALCÓATL, au LOGOS, UNITÉ MULTIPLE PARFAITE, aux PRINCIPES INTELLIGENTS qui gouvernent tout ce qui est, qui a été et qui sera.
Évidemment, nous pouvons réintégrer le Divin SI NOUS ÉLIMINONS de nous-mêmes L’EGO ANIMAL. En vérité, l’Égo Animal existe à l’intérieur de chacun de nous ; je dis de nouveau ce que j’ai déjà dit avant : « c’est un tas de passions, de haines, de colères, de jalousie, etc., c’est ça le Moi ».
Si, véritablement, nous commettons l’erreur de remplacer le Point Mathématique de la Création par le « cher Égo », il est évident que nous ne comprendrons plus, je le répète, ce qu’est la Création. Nous avons besoin d’éliminer l’Égo, le Moi, le moi-même, d’en finir avec nos défauts d’ordre psychologique, si nous voulons, un jour, nous intégrer à la Divinité.
D’abord, il faut créer l’Homme à l’intérieur de nous-mêmes ; plus tard, nous devons créer le Surhomme à l’intérieur de nous-mêmes. LE SURHOMME est terriblement Divin, il est au-delà du bien et du mal.
Friedrich Nietzsche, parlant du Surhomme, a dit : « L’heure du Surhomme est arrivée. L’Homme n’est autre qu’un pont tendu entre l’animal et le Surhomme, un trou dangereux sur le chemin, un dangereux regard en arrière ; tout en lui est dangereux ; l’heure du Surhomme est arrivée ».
Le Surhomme, en réalité et en vérité, est au-delà de tous les codes moraux. Nous savons bien que la morale est fille des coutumes et du temps : ce qui fut « moral » à une époque est « immoral » à une autre ; ce qui peut être « moral » dans un pays, ne l’est pas dans un autre pays. Ainsi, la morale est purement conventionnelle. Nous avons besoin d’une ÉTHIQUE RÉVOLUTIONNAIRE, nous avons besoin de l’éthique du Surhomme.
L’Homme, après s’être intégré au Divin, acquiert indubitablement les pouvoirs qu’avaient auparavant les Lémures ; lorsque l’Homme s’intègre au Divin, il peut commander au feu, à l’air, à l’eau et à la terre ; lorsque l’Homme s’intègre au Divin, il empoigne l’épée de la Justice Cosmique pour gouverner toutes les Forces de la Nature.
Dans le monde, ont existé de véritables Surhommes, et nous avons tous le pressentiment, au fond de notre cœur, qu’un jour le Surhomme a marché sur la face de la Terre. Nous avons tous le pressentiment de l’existence du Surhomme, il nous semble tous que nous portons, au fond de nous-mêmes, des réminiscences oubliées du Surhomme.
Le Bouddha Gautama Sakyamuni est un SURHOMME ; Moïse, celui qui pouvait commander aux Élémentaux de la Nature, celui qui terrorisa les Égyptiens, celui qui ouvrit les eaux de la Mer Rouge pour que les Israélites la traversent, c’est un Surhomme. Un Surhomme, c’est ce que fut véritablement un Quetzalcóatl, vivante incarnation du Logos ; un Surhomme, c’est ce que fut véritablement un sage tel que le dénommé Hermès Trismégiste, le trois fois grand Dieu Ibis Thot.
Aujourd’hui (soyons sincères envers nous-mêmes), nous sommes vulnérables, faibles ; aujourd’hui, nous sommes des créatures sans défense, remplies de haines, de guerres et d’abominations.
Il faut qu’en nous surgisse l’Homme, il faut qu’en nous apparaisse le Surhomme. Nous pouvons d’abord créer l’Homme et, beaucoup plus tard, avec le temps, naîtra alors en nous le Surhomme.
Le Surhomme, en réalité et en vérité, doit arriver à dominer l’Univers entier ; le Surhomme doit surgir en nous avec des pouvoirs extraordinaires, pour commander cette Création.
Mes amis, C’EST DANS LE SEXE QUE SE TROUVE LE CHEMIN, le chemin est éminemment sexuel. Il est inutile d’aller chercher la Vérité dans des écoles, des théories, des sectes, etc. Nous avons besoin d’apprendre à utiliser l’ÉNERGIE CRÉATRICE DU TROISIÈME LOGOS, si nous désirons vraiment nous convertir en véritables Surhommes, dans le sens le plus complet du terme.
Lorsqu’un homme et une femme s’unissent, quelque chose se crée, que ce soit une larve ou un enfant. Si nous profitons des forces extraordinaires de la Création qui entourent le couple durant la Copulation Chimique, nous pouvons, avec ces énergies, nous transformer, nous convertir en Hommes Véritables et, beaucoup plus tard, en Surhommes.
Malheureusement, l’humanité a pris le chemin de la dégénérescence sexuelle ; aujourd’hui, l’humanité a atteint le MAXIMUM DE LA DÉGÉNÉRESCENCE : vous savez bien qu’il y a des pays où l’homosexualité et le lesbianisme sont légalisés, où les hommes se marient avec les hommes et les femmes avec les femmes.
Il est aussi tout à fait certain et entièrement vrai que la dégénérescence est si grande, qu’il y a des pays où l’on veut légaliser jusqu’à l’inceste même. Par ce chemin, le jour viendra où le père se mariera avec la fille, le fils avec la mère, le frère avec la sœur, etc. Aujourd’hui, on appelle cela la soi-disant « émancipation », la « civilisation » et je ne sais quoi d’autre.
Les foyers se sont désintégrés. Maintenant, la femme va d’un côté et l’homme de l’autre côté. L’unité familiale s’est perdue et les vices rongent cette race jusqu’à la moelle des os.
De nos jours, l’humanité est entrée dans une épouvantable involution et – c’est indubitable – à mesure que l’humanité subit l’involution, la Terre se précipite également sur le Chemin Involutif, descendant.
De nos jours, les mers sont contaminées ; de multiples espèces ont disparu ; la Terre est en train de devenir stérile, elle se transforme entièrement en désert ; l’atmosphère est contaminée par l’abominable smog, beaucoup de créatures meurent quotidiennement à cause du smog.
De partout il y a la faim et la désolation, il y a des millions d’êtres humains qui meurent chaque année.
Les tremblements de terre se multiplient d’une façon épouvantable et, en plus de tout cela, il y a un « monstre » qui vient « dévorer » la Terre. Je veux me référer à « BARNARD I », comme l’appellent les astronomes, ou aussi à HERCOLUBUS ; c’est un monde gigantesque, un monde beaucoup plus grand que Jupiter (on estime qu’il est six fois plus grand que Jupiter, le titan des cieux), et il s’approche de l’orbite terrestre à une vitesse extraordinaire.
Les astronomes sont en train de l’étudier minutieusement ; ils nous ont dit que, très vite, il arrivera près de notre planète Terre. Quand cela surviendra, il y aura des cataclysmes aussi terribles que ceux qui vinrent à bout de la Lémurie et de l’Atlantide.
À l’approche d’Hercolubus, le feu liquide de l’intérieur de la Terre sortira à la surface et alors brûlera réellement tout ce qui a de la vie. Lorsque Hercolubus se sera rapproché au plus près, il y aura une révolution des axes de la Terre, les mers changeront de lit et les continents actuels, où vit cette humanité perverse, sombreront dans les vagues furieuses de l’océan ; « De cette perverse civilisation de vipères, il ne restera pas pierre sur pierre », cette civilisation sera détruite.
Cependant, dans l’Atlantide, il y eut des survivants, et dans la Lémurie aussi. Évidemment, de toute cette Race, quelques-uns seront sauvés ; il faudra former un petit noyau de gens de bonne volonté, qui seront emmenés secrètement à un certain endroit du Pacifique ; un endroit situé sur un certain méridien de longitude et de latitude, où il n’arrivera rien, car la catastrophe ne se produira pas de la même façon dans tous les endroits du monde.
Cette RACE ÉLUE, ces gens de bonne volonté devront passer par beaucoup de processus de purification avant de pouvoir servir de racine pour la FUTURE GRANDE RACE.
Je veux vous dire que la future Grande Race vivra sur de nouvelles terres et sous de nouveaux cieux ; je veux vous dire que la future Grande Race aura reconquis l’Innocence dans le mental et dans le cœur ; je veux vous dire que la future Grande Race sera composée d’Hommes Véritables, d’Hommes qui auront véritablement surgi des germes mêmes que nous portons dans nos glandes endocrines sexuelles. Virgile, le poète de Mantoue, a dit : « Il est arrivé l’Âge d’Or et une nouvelle race commande ! ».
Tous les Livres sacrés des temps anciens nous parlent de la GRANDE CATASTROPHE qui approche ; ils nous disent tous que cette humanité perverse périra par le feu. Lisons attentivement les livres des Mayas, lisons l’ancienne Bible, lisons le Coran et les livres de l’Asie, et nous pourrons vérifier ce qui est déjà prophétisé.
Évidemment, ce que je suis en train de dire ne sera jamais accepté par l’ANTÉCHRIST DE LA FAUSSE SCIENCE. En vérité, l’Antéchrist n’est pas un individu (comme le prétendent certains) qui « vient en réalisant des prodiges et des merveilles de toutes parts ». L’Antéchrist EST L’EGO, le Moi, le moi-même, le soi-même que nous portons à l’intérieur de nous. Nous avons besoin d’éliminer l’Antéchrist de nous-mêmes, pour que surgisse en nous l’Homme et, plus tard, le Surhomme.
L’Antéchrist de la science matérialiste hait toutes ces choses et il est plein d’autosuffisance et d’orgueil, il croit qu’il domine l’Univers, il croit qu’il connaît déjà toute la Sagesse de l’Infini, mais il ment.
Ici s’achèvent mes propos de ce soir. Merci beaucoup.