Le Baptême, le Mariage et autres Aspects
LE BAPTÊME, LE MARIAGE ET AUTRES ASPECTS
Conférence de Samaël Aun Weor
Le Cinquième Évangile
Bien, nous allons commencer la chaire… d’aujourd’hui. En tout cas, mes frères, il est bon que vous portiez une attention correcte à tout.
Aujourd’hui nous allons parler un peu du Baptême et du Mariage, et de certains autres aspects. Indubitablement, le Baptême est un PACTE DE MAGIE SEXUELLE. Si le dévot n’accomplit pas ce pacte, évidemment le Baptême ne lui sert à rien.
Dans les Églises chrétiennes, l’Eau, le Sel et le Soufre, ne peuvent jamais manquer pour le baptême.
L’EAU contenue dans les fonts baptismaux symbolise le MERCURE de la Philosophie secrète, l’ÂME MÉTALLIQUE du sperme.
Le SOUFRE est représenté par le FEU des cierges, des bougies ou des chandelles, comme on veut les nommer.
Et quant au SEL, il faut le mettre sur les lèvres et sur la langue de l’enfant.
Ces trois substances présentes dans le Baptême : Sel, Soufre, Mercure, sont profondément significatives. Le Sel existe dans le sperme sacré. Lorsqu’on obtient la transmutation et la sublimation du sperme, le Sel est également transmuté et sublimé.
« Vous êtes le Sel de la Terre » dit le Grand Kabir Jésus. Le Maître donne à entendre aussi que si le Sel dégénérait, il ne servirait pas, dit-il « ni pour le fumier ni pour rien, et qu’il serait jeté », donc, « à l’abîme et aux ténèbres ».
Le Sel sert, disons, de base pour le Soufre et le Mercure ; ceux-ci se combinent et s’amalgament à l’intérieur du Sel.
Mais il est nécessaire que les frères précisent ces questions.
Le Mercure (je l’ai déjà dit, qu’on ne l’oublie pas, et je le répète) est l’Âme Métallique des sécrétions sexuelles, tant chez l’homme que chez la femme.
Le Soufre est le Feu ; le Feu qui doit se libérer de ses prisons pour féconder le Mercure et se mélanger avec le Sel.
Les travaux de la Neuvième Sphère sont, d’habitude, très délicats. Sel, Soufre et Mercure réunis, constituent l’AZOTH ou, en d’autres termes, le V.I.T.R.I.O.L. « Visita Interiora Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem » ; « Visite l’intérieur de la Terre, en rectifiant tu trouveras la Pierre occulte, c’est-à-dire la Pierre philosophale ».
Ainsi, le V.I.T.R.I.O.L est formidable, c’est un mélange de Sel, de Soufre et de Mercure. Ces trois substances, comme je l’ai déjà dit, sont présentes dans le Baptême. Mais voyez quelle merveilleuse relation existe entre le Baptême et le Mariage ! C’est formidable, dans le sens le plus complet du terme !
Évidemment, il faut apprendre à préparer le Mercure des Sages. Le secret de la préparation du Mercure n’a jamais été dévoilé ; même Fulcanelli ne le dévoila pas. Mais à celui qui est ici, à l’intérieur de cette insignifiante personne qui ne vaut rien, il lui a incombé de dévoiler ce secret.
Il est évident que la clé de la préparation du Mercure se trouve, précisément, dans un délicat et très simple artifice que vous connaissez déjà : connexion du LINGAM-YONI, sans jamais renverser le Vase d’Hermès Trismégiste (le trois fois grand Dieu Ibis Thot). C’est cela tout le Secretum Secretorum qui sert de base pour la préparation du Mercure des Sages.
En arrivant à cette partie de notre chaire liturgique, je dois vous dire que nombreux sont les frères et les sœurs gnostiques qui ont retardé la réception du Feu sacré. À quoi cela est-il dû ? Simplement au fait que ces frères ne raffinent pas le « Sacrement de l’Église de Rome ». Ce sacrement doit être sublimé, c’est-à-dire raffiné. « ROMA », écrit à l’envers, se lit « AMOR ». Ainsi donc, le « Sacrement de l’Église de l’Amour » est dans la Forge des Cyclopes, dans la Forge ardente de Vulcain.
Indubitablement, les couleurs de base du Grand Œuvre sont au nombre de quatre. On peut voir ces QUATRE COULEURS avec le sens de l’auto-observation psychologique, dans les travaux de préparation du Mercure des Sages.
Si on ne transmute pas le sperme sacré, c’est-à-dire l’EXIOHEHARI, jamais on ne parviendra à créer l’Âme Métallique du sperme sacré, c’est-à-dire le Mercure des Sages. Au début, ce Mercure est NOIR comme du charbon ; ce sont les eaux noires et pourries, où se trouve la pourriture. Dans ces conditions, il a pour allégorie le CORBEAU NOIR de Saturne, c’est-à-dire l’Oiseau de la Mort.
Quand on raffine le Sacrement de l’Église de Rome, quand on le sublime, quand on fait du Coïtus Reservatus tout un RITE SACRÉ, ce Mercure devient BLANC. On dit alors qu’on a extrait, d’entre les eaux noires, la GÉLATINE BLANCHE. Ce sont les termes qui ont toujours été utilisés dans l’Alchimie médiévale.
Plus tard, le Mercure sublimé encore plus au moyen de la Liturgie tantrique, devient merveilleusement JAUNE. Je veux vous dire que lorsque le Mercure est devenu blanc, il a pour allégorie la BLANCHE COLOMBE de l’Esprit Saint. Quand il est devenu JAUNE, il a pour allégorie l’AIGLE JAUNE.
La couleur fondamentale du Mercure est le jaune ; le Mercure jaune est alors en parfaite condition, il est prêt pour recevoir le Soufre et aussi le Sel sublimé. Le Soufre doit se libérer de ses prisons pour féconder le Mercure et le Mercure doit passer par beaucoup d’additions, de soustractions, de multiplications et de divisions d’éléments, avant de se trouver en condition pour pouvoir recevoir le Soufre, c’est-à-dire le Feu.
Une fois que le Soufre a fécondé le Mercure, alors mélangé avec ce Sel sublimé, il monte sous forme de Vitriol par le canal de la moelle épinière de l’initié, pour arriver jusqu’à la partie supérieure du cerveau. Ensuite, par des conduits plus subtils (tel que le AMRITA NADI), il poursuit sa marche jusqu’au cœur. Mais ces frères qui retardent la sublimation du Sacrement de l’Église de Rome perdent beaucoup de temps : 10, 12, 15 ans avant de recevoir le Feu, ce qui se fait vraiment ex abrupto.
Je vous demande instamment, et au nom de la Grande Cause, de SUBLIMER TOUJOURS le travail avec le Mercure, c’est-à-dire le Sacrement de l’Église de Rome ; « Faire (comme le disait saint Augustin) du coït une forme de prière ».
Il est réellement vrai que le Coïtus Reservatus est, au fond, une forme liturgique. C’est pour cela que j’ai dit que Dieu, on le rencontre dans la Liturgie et que le chemin de Dieu est liturgique.
L’excédent de Sel, de Soufre et de Mercure sert à la cristallisation des Corps Existentiels Supérieurs de l’Être, au moyen de l’accomplissement du DEVOIR PARLOCK DE L’ÊTRE. L’excédent, je le répète, sert à cela ; et, dans une octave supérieure, il se cristallise dans nos cellules, dans notre organisme, sous la forme extraordinaire et merveilleuse du CORPS ASTRAL.
Dans une seconde octave, bien plus avancée, il se cristallise sous la forme du CORPS MENTAL et, en dernier, dans une troisième octave, encore plus haute, il se cristallise sous la forme extraordinaire du CORPS CAUSAL.
Lorsque quelqu’un possède les corps physique, astral, mental et causal, il reçoit les PRINCIPES ANIMIQUES et SPIRITUELS, c’est-à-dire le PNEUMA des Gnostiques ; il se convertit alors en être humain légitime, en Homme authentique.
Avant d’avoir créé les Corps Existentiels Supérieurs de l’Être au moyen de l’accomplissement du Devoir Parlock de l’Être, on n’est pas un Homme, on est un « animal intellectuel », un « mammifère rationnel », mais pas un Homme.
Si nous plaçons un « mammifère intellectuel » face à un Homme, physiquement ils se ressemblent ; mais si nous observons les processus psychologiques de l’un et de l’autre, nous verrons qu’ils sont totalement différents ; ils sont comme l’eau et l’huile qui ne peuvent se mélanger.
Si bien que, pour être un Homme, en plus de ce corps de chair et d’os que nous possédons, il nous faut posséder les Corps Existentiels Supérieurs de l’Être, et c’est seulement au moyen de l’élaboration du Mercure dans la Forge des Cyclopes que cela est possible.
Aucun homme ne peut préparer le Mercure s’il n’a pas un Vase Hermétique. Il ne serait pas non plus possible aux Sages de multiplier le Vitriol, c’est-à-dire le Sel, le Soufre et le Mercure, s’ils ne possédaient pas un Vase Hermétique convenable pour le travail de laboratoire. Lorsqu’on ne possède pas ce vase, il ne reste donc plus d’autre remède que de l’obtenir, afin de continuer d’aller de l’avant.
Mes chers frères gnostiques : l’heure est venue de comprendre l’intime relation qui existe entre le Mariage et le Baptême.
Dans l’Église d’Orient, par exemple, le jour de l’Épiphanie, on associe le Sacrement du Mariage à celui du Baptême, et on a le souvenir vivace des NOCES DE CANA ou CHANAAN. Et dans l’Église d’Occident, durant l’Épiphanie, on associe clairement le Sacrement du Baptême au Sacrement du Mariage, et on se souvient du Mariage de Jésus avec son Église.
Le Baptême est un sacrement très ancien. C’est dans le GANGE que RAMA se fit baptiser. Quand Rama fut baptisé par son Gourou, il reçut une instruction préalable sur les Mystères du Sexe et, une fois qu’il les eut compris, on le baptisa ; avant, il n’y avait pas lieu de le faire. Ainsi donc, le Baptême est très antérieur au Christianisme ; il a appartenu à toutes les religions confessionnelles du passé, à toutes les cultures hermétiques et archaïques.
Pour tous ces motifs, nous allons établir, dans nos Rituels Gnostiques, le jour de l’Épiphanie. Il restera dans la Liturgie, parce qu’il est profondément alchimique. L’ÉPIPHANIE est l’ASCENSION DU CHRESTOS COSMIQUE en nous-mêmes ; c’est pourquoi l’Épiphanie est formidable.
Mais le Christ ne peut s’élever en nous si, réellement, nous n’accomplissons pas les Sacrements du Baptême et du Mariage gnostiques. Vraiment, nous tous, en réalité, nous sommes remplis de multiples éléments indésirables que nous portons lamentablement dans notre Psyché. Nous sommes épouvantablement faibles ; c’est pourquoi on a fortement besoin de l’assistance Christique.
La CHAIR du Christ est le MERCURE des Sages et le SANG, je le répète, est le VIN, le SOUFRE.
Le Sang de l’Agneau Immolé qui rachète les péchés du monde, est le Feu ; c’est le Soufre qui brûle dans les entrailles de la Terre.
Quand nous frappons un rocher avec une chaîne, il en sort du feu, c’est-à-dire du Soufre.
Le Christ est crucifié dans le monde depuis l’aube de la vie ; Il est le Feu.
Nous, ce qui nous intéresse particulièrement, c’est la Flamme de la flamme, l’Occulte de l’occulte, la signature astrale du Feu, le Feu du feu ; ce Feu mystique que cultivaient les Vestales de la Rome antique, ce Feu mystique que vénéraient les Parsis dans la terre de Zarathoustra, ce Feu auquel on rendait un culte, ici, dans notre chère terre mexicaine, est précisément le Christ cosmique, il est le Soufre des Sages, INRI.
Ainsi, mes chers frères, il faut comprendre le mystère grandiose de la Transsubstantiation.
Il y a Transsubstantiation aussi dans l’Exiohehari, c’est-à-dire dans le sperme sacré. Quand celui-ci se transmute en l’Âme Métallique, en le Mercure des Sages, il y a Transsubstantiation.
La Transsubstantiation existe dans le Feu. Le Feu, le Soufre, doit être libéré de ses prisons ; il passe par de multiples transsubstantiations pour se mélanger avec le Mercure et avec le Sel, et monter, victorieux, par l’épine dorsale jusqu’à la tête, et de là jusqu’au cœur.
Ainsi, vous voyez que l’Onction Gnostique est un Mystère d’Alchimie, et c’est ainsi qu’il faut savoir le comprendre.
Chers frères gnostiques, je vous demande de la compréhension. L’Amour doit régner à l’intérieur de la Liturgie et de toutes parts ; mais, pour qu’il règne, il nous faut éliminer, de notre nature psychologique, le MERCURE SEC et le SOUFRE ARSENIQUÉ.
Le Mercure sec n’est autre que ces multiples agrégats psychologiques, vive personnification de nos défauts psychologiques, que nous portons à l’intérieur de nous.
Le Soufre arseniqué est le feu vénéneux, libidineux, le feu qui provient de l’abominable organe Kundartisseur, le feu infernal qui se trouve dans les bas enfers atomiques de l’homme.
Tant que nous n’éliminons pas de notre nature tout ce Mercure sec et ce Soufre arseniqué, il sera impossible que surgisse dans les cœurs ce qui s’appelle l’AMOUR.
Malheureusement, nombreux sont les initiés qui ne se préoccupent pas de l’élimination du Mercure sec ni du Soufre arseniqué, et ceci est grave, parce qu’en réalité, vraiment ils stagnent, ils ne réalisent aucun progrès intérieur.
Chers frères gnostiques, je suis inondé de correspondance venant de tous les pays du monde. Malheureusement, rares sont ceux qui me parlent de la DISSOLUTION DE L’EGO.
Tous ceux qui m’écrivent, tous ceux qui écrivent au Siège Patriarcal, demandent qu’on les soigne, demandent des pouvoirs, demandent de l’argent, demandent des positions sociales, autant dans le Mouvement qu’en dehors du Mouvement ; mais personne ne me demande des explications sur la désintégration du Mercure sec, ni non plus du Soufre arseniqué. C’est regrettable parce qu’à l’allure où nous allons, la seule chose que nous allons obtenir, vraiment, en réalité, dans les pays d’Amérique Centrale et d’Amérique du Sud, est une bonne récolte d’HANASMUSSEN, avec un double centre de gravité.
Recevoir les initiations que l’on convoite tant ne signifie pas la Libération. Quelqu’un peut recevoir toutes les HUIT INITIATIONS DU FEU, mais s’il ne qualifie pas ces initiations, elles ne lui servent à rien ; et avec toutes ses initiations, et même avec ses Corps Existentiels Supérieurs de l’Être déjà fabriqués, il involuera dans le Règne minéral submergé, jusqu’à se réduire en poussière cosmique.
Un Hanasmussen a un double Centre de Gravité, nous le savons ; parce que l’Être, vêtu des Corps Existentiels Supérieurs, forme une personnalité divine, et l’Égo fortifié forme une autre personnalité. Un Hanasmussen a donc deux personnalités internes : l’une angélique, l’autre diabolique.
Ainsi, mes chers frères, il ne sert à rien de convoiter des initiations, des degrés, des pouvoirs, etc. Il faut penser à la Christification, et ce n’est possible qu’en éliminant de notre nature psychologique les agrégats psychiques.
On vous a remis la « Psychologie Révolutionnaire ». Vous devez étudier cette œuvre profondément et surtout la vivre. Il ne sert à rien de l’étudier si vous ne la vivez pas. On vous a remis aussi la « Grande Rébellion » pour que vous l’étudiiez et la viviez, et on vous a remis « Le Mystère de la Fleuraison d’Or » qui, combiné avec ces deux livres cités, forme un triangle spécial. Avec ces trois livres, on peut désintégrer l’Égo, à condition de pratiquer ce qui y est enseigné.
Ainsi, mes chers frères, il devient nécessaire de mourir pour ÊTRE. C’est donc avec une profonde douleur que je suis en train de voir que les frères ne veulent pas mourir ; et tels qu’ils se trouvent, tous ceux qui sont présents ici vont très mal, parce qu’ils sont très vivants. Le Christ ne peut ressusciter en vous que si vous obtenez la Mort radicale de l’Égo, du Moi-Même, du Soi-Même.
Ainsi, tels que vous êtes, vous n’êtes que des machines au service de divers agrégats psychiques, des machines indispensables pour l’économie de la Nature. Chaque machine humaine capte certains types et sous-types d’énergie cosmique, et ensuite elle les transforme et les retransmet aux couches inférieures de la Terre. Elle sert donc à l’économie de la Nature ; la Nature a besoin de ces forces que nous transformons inconsciemment.
Lorsque quelqu’un essaie de travailler dans la Neuvième Sphère, pour créer les Corps Existentiels Supérieurs de l’Être, la Nature entière mobilise ses pouvoirs, dans le but de faire dévier le néophyte. Il est évident qu’en commençant à travailler dans la Forge des Cyclopes, nous attentons, en fait, à l’économie de la Nature, et elle ne peut tolérer que nous échappions à ses griffes. Elle a des pouvoirs formidables, établis dans notre propre corps, précisément pour combattre notre arrogance.
Comme je l’ai dit, le Seigneur, le Chrestos, n’est pas un individu humain ou divin. Lui est bien au-delà de la personnalité, du Moi et de l’individualité. Ce n’est pas non plus un personnage historique, comme le supposent les gens de toutes les religions et des sectes néo-chrétiennes. Non, c’est une Force électrique, une Force magnétique, un pouvoir qui se trouve latent dans chaque ion, dans chaque électron, dans chaque proton de l’Univers.
Le Chrestos peut s’exprimer à travers tout homme qui s’est trouvé dûment préparé. C’est ainsi, frères, que nous devons travailler intensément, MOURIR EN NOUS-MÊMES, afin qu’un jour s’exprime en nous le Chrestos.
Il nous faut cristalliser, dans notre nature, le Mercure des Sages, c’est-à-dire l’ESPRIT SAINT, et cela est possible au moyen du travail dans la Forge des Cyclopes. Il nous faut cristalliser en nous le CHRESTOS COSMIQUE, OSIRIS-RA, VISHNOU, et c’est possible en nous reniant nous-mêmes, en désintégrant l’Égo, en l’annihilant radicalement.
Il nous faut cristalliser en nous BRAHMA, c’est-à-dire le PÈRE qui est en secret, et cela devient possible en apprenant à obéir au Père, tant dans les Mondes Supérieurs que dans le monde physique.
La Gnose est hautement scientifique, profondément philosophique, extraordinairement artistique et merveilleusement mystique. Ce que nous enseignons peut être démontré scientifiquement, philosophiquement, artistiquement, etc.
Ainsi, il faut prêter attention à ces vastes et profondes études.