Le Dieu Tlaloc
LE DIEU TLALOC
Conférence de Samaël Aun Weor
Le Cinquième Évangile
Nous voilà tous réunis pour partager de délicieux instants de Sagesse et d’Amour. Vous venez de voir sur scène une très jolie danse exécutée par de beaux enfants (des compatriotes mexicains).
Je vais maintenant vous expliquer certains aspects très importants de notre Anthropologie Gnostique : toutes ces DANSES ANCIENNES, comme j’ai déjà eu l’occasion de vous le dire, contiennent en elles-mêmes, des MESSAGES ÉSOTÉRIQUES CHRISTIQUES profonds ; toutes ces danses sont remplies d’une profonde signification ; cela vaut la peine d’écouter toutes ces harmonies ; cela vaut la peine d’observer ces danses exotiques.
Notre pays, le Mexique, est plein de profondes Traditions Ésotériques ; rappelons-nous les Êtres Divins auxquels on rendait un culte dans l’ancien Mexique ; rappelons-nous un instant TLALOC, le Dieu des Eaux.
« Dans le PARADIS DE TLALOC – disent les traditions – règne la Félicité absolue… ». Beaucoup de gens trouveront plutôt fantastique qu’en plein XXe siècle nous parlions du « Paradis de Tlaloc » ; ce qui se passe, c’est que les « super-civilisés » de cette époque ont complètement oublié la Sagesse Élémentale de la Nature.
Tlaloc est assurément un « Deva » de l’Élément Eau, une Puissance Cosmique de l’Univers ; il a une existence réelle. Indubitablement, les Déités Cosmiques de ce type vivent normalement dans la Région des Causes Naturelles, région à laquelle les scientifiques de l’atome et de la molécule n’ont pas accès ; cependant, les Prophètes d’Anahuac, en état d’Extase, pouvaient pénétrer dans cette région et converser, en tête-à-tête, avec Tlaloc. Au nom de la vérité, nous devons souligner le fait que le Paradis de Tlaloc existe !
Nous savons bien qu’il y a Quatre Régions fondamentales. La première, nous la nommerons « RÉGION CELLULAIRE » ; c’est la Région de la Vie Organique, la Région Tridimensionnelle d’Euclide. La deuxième est le « MONDE MINÉRAL SUBMERGÉ » dont les scientifiques ne peuvent nier l’existence, car il y a les mines et l’intérieur de la Terre pour le démontrer (nous vivons physiquement sur la croûte géologique de la Terre, sur la croûte minérale). La troisième région est le « MONDE MOLÉCULAIRE » et la quatrième, « le MONDE ÉLECTRONIQUE ».
D’un point de vue cosmique et gnostique, nous dirons que le Monde Moléculaire est constitué de la région ASTRALE et de la région MENTALE ; quant au Monde Électronique Solaire, il est formé du MONDE des CAUSES NATURELLES, du MONDE de la CONSCIENCE UNIVERSELLE et de la RÉGION de l’ESPRIT PUR. Ainsi, il y a Quatre Régions, et cela, il est nécessaire de le comprendre.
La RÉGION de TLALOC est formidable, extraordinaire, merveilleuse ; Tlaloc vit dans le Monde Causal ; quand on parle de Tlaloc, on se réfère à ce Monde des Causes Naturelles dans lequel il vit.
D’admirables traditions consignées dans les Codex disent « qu’il vit entouré d’une multitude de beaux enfants » et que « lorsque un éclair tombe, c’est qu’une jarre, ou simplement un vase, s’est cassé, s’est brisé ». Naturellement, c’est symbolique, et nous ne devrions aucunement le prendre littéralement.
On dit aussi que « Tlaloc avait une épouse » (on se réfère à la Walkyrie, à l’Âme Spirituelle, qui est féminine).
J’ai dit, dans beaucoup de mes œuvres, que l’INTIME, c’est-à-dire notre ÊTRE, a deux Âmes : l’une est l’ÂME SPIRITUELLE, l’autre est l’ÂME HUMAINE ; l’Âme Humaine est masculine, l’Âme Spirituelle est féminine ; c’est le couple des Gémeaux à l’intérieur de nous-mêmes, c’est le signe des Gémeaux dans notre Nature Spirituelle.
Ainsi, quand on parle de Tlaloc et de son Épouse, dans les codex, on se réfère de manière emphatique aux deux Âmes (de Tlaloc) : la Masculine et la Féminine.
Tlaloc n’est pas coupable du fait que beaucoup d’enfants et de pucelles aient été immolés en son honneur ; cela se faisait toujours pour implorer la pluie, mais Tlaloc n’a jamais exigé de tels holocaustes. Un jour, je me trouvais en État de Manteya (je veux dire de Samadhi, qu’on pourrait traduire dans le Monde Occidental par « Extase ») ; j’avais atteint cet état par la technique de la Méditation, en passant par le « Dharana », qui signifie « Concentration » et par le « Dhyana », qui signifie « Méditation » ; dans cet état d’extase spirituel, je me suis retrouvé, en réalité, face à face avec Tlaloc.
Le reproche que je lui fis s’avéra injuste :
– Toi, tu as commis de grands crimes – lui dis-je – ; tu as permis que l’on sacrifie des petits garçons, des petites filles, des pucelles et même des vieillards, et c’est criminel. Tlaloc avait à ce moment-là l’apparence d’un arabe des temps anciens. Il répondit :
– Je n’ai jamais exigé de tels sacrifices de la part de l’humanité, je n’ai jamais exigé qu’on immole pour moi des êtres vivants ; c’est l’affaire des habitants du monde physique, car je n’ai jamais exigé de tels sacrifices humains ; cependant, je reviendrai dans la nouvelle Ère du Verseau.
C’est ce que dit Tlaloc et je compris que ce grand Être qui vit à présent dans le Monde des Causes Naturelles se réincarnera dans le futur Âge d’Or, en pleine splendeur du Verseau ; il prendra un corps physique et aidera la Sixième Race durant l’Âge d’Or.
Ainsi, mes chers frères, il s’agit d’un Grand Être qui devra revenir dans le monde physique. Pour parler dans un sens purement chrétien, nous dirons qu’il S’AGIT D’UN ANGE et QU’IL REVIENDRA (c’est ce qu’il a dit).
Grâce au Samadhi dans lequel ils étaient experts, les anciens Prêtres Mayas, comme les Prophètes d’Anahuac ou les Mystiques Toltèques (artistes de renom), etc., pouvaient pénétrer au moyen de la profonde PRIÈRE et de la MÉDITATION, dans cette région merveilleuse où vit Tlaloc ; on affirmait aussi que « les défunts qui mouraient noyés pouvaient pénétrer dans le Paradis de Tlaloc » (comme on l’a déjà dit).
Dans le Monde Oriental, on parle également de « Royaumes », comme celui « des Cheveux Longs », ou celui de « la Dense Concentration », ou celui de « Maitreya », etc. Ce sont des régions qui existent au-delà du Monde Tridimensionnel d’Euclide.
Et que dire de tous ces danseurs qui savaient aussi attirer les bienfaits du Dieu de la Pluie ? Vous venez de contempler ces enfants, vous avez profité de leur représentation.
Ces DANSES, comme celles que ces enfants ont présentées devant vous, avaient pour objet, entre autres, d’attirer les eaux pour qu’elles fertilisent la terre et fassent germer les semences de toute espèce.
On a connu des danses similaires dans d’autres lieux de l’Amérique ; à TEOTIHUACAN, certains cultes étaient célébrés dans la Pyramide de la Lune, dans le but d’attirer la pluie, et ils ne cessaient d’implorer le secours de Tlaloc, le bienfaisant Dieu de la pluie.
Il est intéressant de savoir que les natifs de Teotihuacan, réunis sur la Pyramide de la Lune et prenant la position que l’on trouve normalement chez les crapauds et les grenouilles, imitaient de façon merveilleuse le « croa » de ces créatures ; et ils le faisaient dans le but de faire pleuvoir et il pleuvait ; mais ils n’oubliaient jamais Tlaloc.
Les MAYAS pratiquaient, eux aussi, des rites semblables et puisqu’ils parvinrent non seulement jusqu’à Costa Rica et à Panama, mais aussi jusqu’aux côtes des Caraïbes, en Amérique du Sud, ces traditions se conservent encore chez les ARHUACOS de la Sierra Nevada (en Colombie) qui pratiquent toujours ces rites et réussissent à attirer la pluie.
Ces systèmes, ces méthodes, sont étranges pour l’Âge de Fer, pour cet Âge Noir dans lequel nous nous trouvons ; de nos jours, les gens sont devenus terriblement grossiers et matérialistes ; ils se moquent à présent de toutes ces merveilles de la Nature et du Cosmos.
On ne voit plus, sur les places publiques, les danses des enfants, des danses comme celles que nous venons de voir ; en Turquie, par exemple, les DERVICHES ne dansent plus sur les places publiques, même l’usage du […] ne leur est pas permis ; toutes les beautés d’une Humanité innocente et pure se sont perdues ; les vieilles Pyramides d’Égypte ont été abandonnées, les « super-civilisés » d’Angleterre et de France se moquent des antiques monolithes.
Il me vient en mémoire, à cet instant, cette phrase que le PRÊTRE de SAÏS a dite à Solon : « Solon, Solon, hélas mon fils, un jour viendra où les hommes riront de nos Hiéroglyphes Sacrés et diront que nous, les anciens, nous adorions des idoles ».
En réalité, avec le Kali-Yuga on a complètement perdu l’innocence et la beauté de l’Esprit ; on ne se rappelle plus que des Pyramides qui sont restées, comme des cadavres, dans le triste sable du désert.
Les DANSES d’ÉLEUSIS ne resplendissent plus ; les prêtresses de ces temps-là ont disparu au milieu des ténèbres du temps et le son de leurs flûtes merveilleuses ne parviennent même plus aux oreilles des profanes.
De l’enchantement des DRUIDES n’est resté qu’une silhouette qui se glisse entre les cyprès du temps ; dans la vieille Europe, on ne voit plus ces Prêtresses DRUIDESSES, ceintes de leurs couronnes de laurier ; Les DANSES DES VIKINGS, sur la terre des autochtones de la Péninsule de la SCANDINAVIE, ont disparu, et le folklore et la légende mystique ne contiennent plus que des souvenirs très lointains.
Quant à l’Amérique du Sud, on n’y entend plus les FLÛTES DES TEMPLES INCAS ; les « couloirs » qui reliaient le Pérou à la Bolivie se sont fermés ; les Temples sont déserts ; les Pyramides se sont couvertes d’herbe ; on ne voit plus nulle part les PRÊTRES du FEU (les Incas), ces Rois majestueux brillent aujourd’hui par leur absence ; l’Humanité a oublié l’Antique Sagesse ; l’Humanité a oublié la RELIGION-SAGESSE des âges anciens ; nous voyons, avec une grande douleur, des ruines et rien que des ruines.
Que savent les gens de notre époque de la Sagesse des LÉMURIENS ou des HYPERBORÉENS ? C’est à peine si la science peut remonter quelque 15 000 ou 20 000 années au maximum, dans le monde des Légendes. Mais que savent les scientifiques actuels, les historiens, de ces Hommes-cyclopes qui ont érigé les murs des anciennes villes du continent Mu ? Que sait-on sur les Cyclopes ? Que sait-on sur l’Œil des Lacertides ?
L’Humanité actuelle est devenue terriblement mécanique et il ne reste du continent Mu que les îles de l’Australie et de l’Océanie ; ce vieil Archipel n’est qu’une réminiscence du Continent où vécurent les HOMMES-DIEUX.
Mes amis, c’est à nous, les Gnostiques, qu’il revient de lutter pour ressortir, du fond des siècles, la Sagesse Divine ; c’est à nous, les Gnostiques, qu’il incombe de lutter contre les ténèbres de cet Âge Noir ; c’est à nous qu’il incombe de lutter, pour restaurer l’innocence perdue, sur la face de la Terre !
L’heure est venue ; nous sommes devant le dilemme de l’ÊTRE et du NON ÊTRE de la Philosophie et, bien que les « ignorants instruits » se moquent de l’Anthropologie Gnostique, nous continuerons nos investigations !
Et que dire de HUEHUETEOTL, le « Vieux Dieu du Feu », une « idole » pour les « ignorants instruits », une « caricature », un « sarcasme », une « idolâtrie », un « fétiche », et rien d’autre ?
Mais nous, les Gnostiques, nous ne pensons pas ainsi ; Huehueteotl est le FEU UNIVERSEL qui brûle dans cette création ; rappelons-nous que « L’Agneau de Dieu qui efface les péchés du monde », c’est le Feu.
Sur la croix du martyr du Calvaire, la signification du Christ est expliquée. D’énormes volumes ont été écrits pour expliquer le Christ, mais en vérité, seulement quatre lettres suffisent, et ces quatre lettres sont écrites sur la Croix du « Golgotha » : INRI (Ignis Natura Renovatur Integra, « le Feu renouvelle intégralement la Nature »).
Le Christ est le Feu qui brûle dans cette Création ; nous ne devons pas oublier que le Christ est crucifié sur la Terre. Le FEU du FEU, C’EST le CHRIST ; ce qui nous intéresse, c’est la Flamme de la flamme, l’occulte de l’occulte, la Signature Astrale de l’Élément Igné ; ce qui nous intéresse, c’est Huehueteotl, le Vieux Dieu du Feu, l’Agneau qui efface les péchés du monde. Le Christ Cosmique n’a donc jamais été autre chose que le Feu.
Mes frères, je vous ai invités à la réflexion, je vous ai invités à l’étude ésotérique de ces splendeurs Christiques, Gnostiques et Anthropologiques.
Le Feu, c’est la vie ; en réalité, nous existons par l’avènement du Feu et nous cessons d’exister quand le Feu abandonne la forme.
« Avant que la fausse aurore n’apparaisse sur Terre, ceux qui avaient survécu à l’ouragan et à la tourmente, louèrent le Feu et les Hérauts de l’Aurore leur apparurent ».
L’Agneau soutenant la Croix à l’aide d’une de ses pattes nous invite à la réflexion : la Croix est complètement Phallique et Yonique ; nous savons bien que le PHALLUS VERTICAL, introduit dans la YONI FORMELLE, forme une croix ; c’est donc l’élément de base pour le développement du FEU SACRÉ dans l’épine dorsale de l’ascète gnostique.
Vouloir représenter le Feu par un Agneau paraît contradictoire, voire incongru ; mais c’est parce que « l’Agneau de Dieu » est le Christ, c’est l’Agneau qui se sacrifie pour l’Humanité, c’est le Feu crucifié sur la Terre, le Feu qui doit brûler en chacun de nous grâce à l’Ésotérisme Christique.
Mes amis, pour poursuivre cette analyse superlative de certains aspects de l’Anthropologie Gnostique, nous ne devons pas non plus oublier l’Élément Air ; nous ne devrions jamais oublier EHECATL, le « Dieu du Vent », le « Dieu du Mouvement Cosmique ».
Ehécatl est un grand Maître, un Ange ; c’est le « Seigneur du Mouvement » ; indéniablement, la SCIENCE DU MOUVEMENT est profonde, terrible. Quelqu’un peu passer des années et des années à étudier cette science, sans jamais parvenir à une limite ; le Mouvement Cosmique est rempli de nombreux mystères ; Ehécatl, le Dieu du Vent, est précisément un spécialiste du Mouvement Cosmique.
Au-delà de tout cela, nous trouvons précisément la MÈRE DU MONDE ; devant elle tremblent tous les Élémentaux de l’Élément Minéral, de l’Élément Terre.
Ainsi, chers frères qui m’écoutez aujourd’hui, dans le Mexique antique, on rendait un culte aux DIEUX ÉLÉMENTAUX de la Nature et du Cosmos. Avec les Danses Sacrées, les Rites, la Prière, la Méditation, on invoquait les Déités du Feu, de l’Air, de l’Eau et de la Terre.
Mais, au fond de tous les mystères, la figure hiératique et terrible de Notre Seigneur QUETZALCÓATL n’a jamais cessé de briller. Ce Quetzalcóatl se perd dans la nuit des siècles. À Thulé, chaque Sacerdote se considérait lui-même comme un Quetzalcóatl ; mais au fond, ce qui se passait, c’est que les Sacerdotes qui se Christifiaient, prenaient le nom de Quetzalcóatl, le DIEU-SOLEIL.
Nous devons entrer sur le CHEMIN DE LA RÉGÉNÉRATION si nous voulons nous convertir en « SERPENTS EMPLUMÉS », comme le Seigneur Quetzalcóatl.
Quand on désintègre l’Égo, quand on le réduit en poussière cosmique, quand on fabrique les Corps Supérieurs Existentiels de l’Être et qu’on les convertit en véhicules d’Or Pur, quand on lève la torche du Verbe pour illuminer le chemin des autres, coûte que coûte, indiscutablement, on se convertit, par le fait même, en un Serpent Emplumé, en un Quetzalcóatl.
Il ne suffit pas seulement d’éveiller le Feu Sacré, il ne suffit pas seulement d’éveiller la KUNDALINI-SHAKTI, pour la faire monter par le canal médullaire jusqu’au cerveau, et de là la faire passer au cœur ; en réalité, on ne peut pas jouir du pouvoir contenu dans les Chakras (disques ou roues magnétiques), si l’on n’a pas été dévoré auparavant PAR LE SERPENT.
À présent, nous pouvons comprendre ces mots du « Chilam Balam de Chumayel » : « Il est nécessaire d’être dévorés par le serpent, il est urgent de nous convertir en Serpents ».
Dans le « Popol Vuh », on cite le cas de VOTAN ; ce Votan était un Dieu de l’ancien Mexique. Ce Votan est aussi cité en Scandinavie, chez les Nordiques ; il a dit : « J’ai pu entrer par l’orifice qui conduit à l’intérieur de la Terre, j’ai pu pénétrer sur ce chemin plein de serpents, parce que je suis, moi aussi, un Serpent ».
Quiconque a été « dévoré » par le Serpent, se convertit en Serpent, et Votan fut « dévoré » par le Serpent.
Les DRUIDES, en état d’Extase, s’écriaient : « JE SUIS UN SERPENT ! » ; les ÉGYPTIENS, eux aussi, s’exclamaient en levant les bras, depuis la cime de leurs Pyramides et en regardant le désert : « Je suis un Serpent ! ».
Le Comte de SAINT GERMAIN oublia, une fois, une note sur la table d’un Palais, qui disait : « Voilà des milliers d’années que je suis établi en Isis », car le Comte de Saint Germain était un Serpent.
La Sagesse de l’ancien Mexique est évidemment SERPENTINE ; dans le Mexique archaïque, on rendait un culte au Serpent.
Donc, mes chers frères gnostiques, vous qui êtes présents aujourd’hui, je vous invite à éveiller le Serpent et, plus encore, je souhaite que chacun de vous se convertisse en Serpent. Beaucoup plus tard, au cours du temps, LE SERPENT EST DÉVORÉ PAR L’AIGLE, LE LOGOS.
Ce symbole de notre Drapeau Mexicain (l’Aigle avalant le Serpent) est profondément significatif: quand quelqu’un a été dévoré par le Serpent, il se convertit en Serpent, mais l’Aigle, le Logos, dévore a son tour le Serpent, il devient alors le Serpent Emplumé, Quetzalcóatl. Voilà ! Paix Invérentielle !