Les Vaisseaux Cosmiques
LES VAISSEAUX COSMIQUES
Conférence de Samaël Aun Weor
Le Cinquième Évangile
Mes amis, je m’adresse de nouveau à tous dans le but d’expliquer un peu ce qui concerne les vaisseaux cosmiques qui sillonnent l’espace. Ce thème intéressant des soucoupes volantes se propage sur toute la rotondité de la terre et personne ne peut plus le nier ; aujourd’hui celui qui ose le nier se disqualifie indiscutablement par sa bêtise.
Même les Anglais ne le nient plus. Il y a quelque temps, l’Angleterre a officiellement déclaré : « les soucoupes volantes existent et elles sont pilotées par les extraterrestres », mais ce sont des gens dont la civilisation a de nombreux millions d’années d’avance sur la nôtre. Nous, les terriens, nous ne pouvons pas les comprendre, nous préférons ne pas penser à eux. Nous allons voir si nous réussissons à fabriquer nos propres vaisseaux pour conquérir l’infini.
On se doutait plus ou moins du contenu de la déclaration que les anglais ont faite au monde entier concernant les soucoupes volantes. Ainsi donc, en les niant, on s’expose à être qualifié d’idiot et à agir comme tel, car cette question est dûment démontrée à satiété tant au Nord qu’au Sud, tant à l’Est qu’à l’Ouest du monde. Bien sûr que la Terre ne peut pas être la seule planète habitée ; il serait absurde que nous pensions que notre Terre, un minuscule grain de sable dans l’espace infini, soit la seule à détenir l’exclusivité d’avoir des habitants.
En réalité, la pluralité des mondes, soutenue en son temps par le « Kybalion », est une terrible réalité ; néanmoins, les scientifiques, comme toujours, continuent de se moquer.
Il y a peu de temps, on a envoyé sur Mars une sonde dans le but de savoir si, là-bas, il y avait de la vie ; les hommes de la NASA ont fini par affirmer, de manière emphatique, qu’il n’y avait pas de vie là-bas. Les photographies de Mars qu’ils ont montrées à l’humanité ne sont pas celles de Mars, ce sont celles de la Lune ; cela signifie que les habitants de Mars ont su orienter les appareils photographiques des gringos vers le satellite terrestre Lune. Ainsi, ces machines transportèrent sur la Terre des images lunaires. On doit cette information, bien que cela vous semble incroyable, simplement à un extraterrestre qui rit de bon cœur des idioties des gringos et de leur NASA.
Il serait absurde de supposer que des gens aussi cultivés que les martiens se laissent dresser une carte géographique. Ils savent bien ce que les terriens poursuivent, ils n’ignorent pas le caractère destructeur des habitants de la Terre. Qu’ils soient destructeurs ? Ils l’ont démontré à satiété. Le cosmos entier ne l’ignore pas, il le sait ; en réalité, il n’est pas superflu de rappeler les atrocités commises par le terrible Hernan Cortés dans notre cher pays du Mexique. Il n’est pas non plus superflu de rappeler les atrocités d’un Pizarro au Pérou.
Si les martiens étaient envahis par les terriens, ce serait le sort qui les attendrait et les vaisseaux si merveilleux dans lesquels ils sillonnent l’espace infini seraient utilisés par les gouvernements de la Russie et des États-Unis dans des buts machiavéliques ; on les armerait de bombes atomiques contre des villes sans défense, on les utiliserait pour conquérir d’autres mondes de l’espace étoilé et pour exporter vers le cosmos toutes nos atrocités. Les martiens le savent très bien et ils ne sont pas assez bêtes pour nous laisser dessiner une carte géographique de leur planète. Ce que j’ai dit, je le dois à des informations dignes de foi, je n’essaye pas d’inventer quoi que ce soit, les martiens ont l’ordre de se défendre et ils le feront si les terriens tentent de les envahir.
Il y a des villes comme celle de Tanio qui est une des plus grandes villes de la planète Mars, où vivent des gens pacifiques qui ne font jamais des plans de guerre, qui n’inventent pas de bombes atomiques pour détruire qui que ce soit. Les habitants de Tanio ne sont nullement disposés à se laisser envahir par les hordes terriennes. C’est la crue réalité des faits.
De multiples vaisseaux traversent l’espace étoilé ; il y en a de gigantesques, comme ces vaisseaux mères qui portent dans leur ventre de petits vaisseaux ; ces vaisseaux mères servent non seulement pour voyager dans notre galaxie, mais bien plus, ces vaisseaux peuvent voyager à travers différentes galaxies, ils sont dûment aménagés pour voyager à travers l’inaltérable infini.
Il y a aussi des petits vaisseaux, et ceci va vous surprendre, des vaisseaux de 20 à 30 cm au maximum. C’est absurde, direz-vous, mais ils existent. Qui pourrait entrer dans de tels vaisseaux jouets, si petits, si minuscules, des Lilliputiens ? En affirmant cela, aujourd’hui, en plein XXe siècle et à l’époque de l’ère atomique, des rayons X et des rayons laser, à quoi peut-on s’exposer ? À la moquerie bien sûr.
Les hommes de science de notre monde Terre croient posséder toute la sagesse de l’univers et ils se trompent, avec ce pourrissoir de théories qui abondent de-ci de-là, et notre culture du XXe siècle est réellement vulnérable. Ce n’est pas la science pure ; les scientifiques de la Terre ne connaissent pas la science pure. Pour avoir accès à la science cosmique et à la science pure, il faut laisser le Mental Intérieur ouvert.
Vous savez qu’il existe trois mentals dans l’être humain : le premier est le mental sensoriel. C’est là qu’est déposé le levain des sadducéens matérialistes, une pensée incohérente qui élabore ses concepts sur nos perceptions sensorielles externes et, là, tu dois connaître le réel, la vérité, ce qui est au-delà des simples perceptions externes. Le deuxième mental est le mental Intermédiaire. Là sont déposées les croyances de toute sorte. Évidemment, croire n’est pas savoir ; nous sommes entrés dans l’âge du savoir, l’âge du Verseau. Les croyances sont des croyances, mais elles n’impliquent pas la sagesse. C’est là qu’est déposé le levain des pharisiens.
Jésus Christ nous met en garde contre le levain des sadducéens matérialistes et des pharisiens croyants. On a besoin d’un troisième mental si nous voulons vraiment pénétrer dans l’amphithéâtre de la Conscience pure. Il existe, mais il est fermé et nous avons besoin de l’ouvrir. C’est le Mental Intérieur et il s’ouvre justement quand meurent les défauts, quand on élimine en soi-même la colère, la convoitise, l’épouvantable luxure, l’orgueil, l’envie, la paresse, la gourmandise, la vanité, etc. En réalité, ceux qui désintègrent leurs défauts psychologiques éveillent la Conscience. L’Éveil de la Conscience ouvre le mental Intérieur. Quand le Mental Intérieur s’ouvre, surgit la véritable foi qui n’est pas la foi du charbonnier, non, c’est une foi consciente, la foi de celui qui sait, la foi de celui qui peut voir, entendre, toucher et palper les grandes réalités de l’amphithéâtre des sciences cosmiques.
Les extraterrestres sont des gens qui ont ouvert le mental Intérieur. Ce sont des anges dans le sens le plus complet du terme. Il y a peu de temps, j’ai eu un contact merveilleux avec un surhomme de l’espace étoilé. Je l’ai raconté très souvent et je vais maintenant en parler à nouveau pour rendre témoignage de ce que j’ai vu et expérimenté pour le bien de l’humanité, et je n’aurai jamais honte de témoigner face au verdict solennel de la conscience publique.
Dans le Désert des Lions, dans le district fédéral, un vaisseau cosmique descendit dans une clairière du bois. Mû par la curiosité, je m’approchai de ce lieu et je rencontrai un vaisseau cosmique posé sur un trépied d’acier. Je m’approchai alors du trépied dans l’intention d’être emmené sur une autre planète. Une trappe miraculeuse s’ouvrit et un homme extraordinaire descendit par le petit escalier métallique. D’autres membres de l’équipage le suivaient dont deux dames, des dames d’un âge indéchiffrable.
Je saluai le capitaine par un « bonjour ». Cet homme me répondit dans un parfait espagnol et me tendit la main que je serrai affectueusement, car voir un extraterrestre parler espagnol ne pouvait que m’étonner.
En observant bien l’aspect de ces extraterrestres, je pus constater que leur peau était de couleur cuivrée, leurs yeux bleus, leur front ample, leur nez droit, leurs lèvres fines et délicates, leurs oreilles petites et recroquevillées, leur stature moyenne, ils n’étaient ni très grands ni très petits, tous minces ; je ne vis aucun obèse.
Nous marchâmes vers des troncs qui jonchaient le sol. Je demandai au capitaine de m’emmener sur la planète Mars.
- Que dites-vous, sur Mars ?
- Oui capitaine.
- Mais c’est là, pas plus…
Les membres de l’équipage continuèrent à aller s’asseoir sur les troncs. Après qu’ils se soient tous assis, l’une des dames dit en se levant :
- Si nous plaçons une plante qui n’est pas aromatique à côté d’une autre qui l’est, il est clair que celle qui n’est pas aromatique se chargera ou s’imprégnera de l’arôme de celle qui l’est, n’est-ce pas ?
- Assurément, répondis-je, c’est vrai. Alors, la dame poursuivit :
- Il arrive la même chose avec les mondes de l’espace infini ; des mondes aux humanités qui ont développé le mal s’imprègnent peu à peu de l’arôme de la radiation des mondes voisins et maintenant ils vont très bien. Mais nous sommes arrivés ici, sur la planète Terre, et nous voyons qu’il ne s’y passe pas la même chose. Qu’est-ce qui se passe sur cette planète ?
La dame en question était perplexe. Notre monde Terre lui sembla étrange, avec des gens qui font des guerres, qui se détruisent avec tant de haine, tant de dégénérescence sexuelle, etc. Elle était alarmée (je le vis sur son visage). Jusqu’où en sont-ils arrivés ?, se demandait la dame, quel est cet endroit ? Quel enfer ! Franchement, je ne savais que répondre. À la fin, j’ai dit :
- Bon, ceci, notre planète Terre, a été une erreur des Dieux, tel est le karma des mondes. Karma est un terme oriental qui signifie cause et effet : à telle cause tel effet. La dame acquiesça d’un mouvement de tête ; avec un salut respectueux, l’autre dame fit de même et ensuite tout l’équipage. Je croyais que les extraterrestres allaient parler plus, mais ils parlent peu ; cependant, ils disent beaucoup. Alors qu’ils retournaient déjà vers leur vaisseau, je réitérai ma demande et lui dit :
- Je suis un homme avec un peu de sens de responsabilité, j’écris pour l’humanité, je suis un écrivain et je souhaiterais que vous m’emmeniez sur une autre planète de l’espace pour pouvoir ramener des informations à l’humanité terrestre. Je voudrais amener des preuves de l’existence de la vie sur d’autres planètes parce que ces scientifiques de la Terre sont très sceptiques et incrédules et très matérialistes. (Le capitaine resta silencieux). Capitaine, lui dis-je, ce n’est pas pour moi que je fais cette demande, mais pour l’humanité ; ma personne ne vaut rien, mais je pense à l’humanité. Ces paroles émurent le capitaine et il dit en levant l’index :
- Sur le chemin nous verrons ; c’est-à-dire que pour moi cette phrase était suffisante et je savais qu’ils ne me tromperaient pas et qu’ils tiennent toujours parole coûte que coûte. Ils parlent peu, mais disent beaucoup, et quand ils disent quelque chose ils s’y tiennent, ce ne sont pas des terriens.
Voici ce que je compris : « sur le chemin », mais le chemin de la sagesse, le chemin de la perfection. Je lutterai, dis-je, j’éliminerai mes défauts psychologiques.
Le capitaine avança vers son vaisseau suivi de l’équipage ; il monta par le même petit escalier et, en ouvrant la trappe, il rentra à nouveau dans son appareil. Je me retirai à une distance prudente dans le but d’observer ce qui se passait. Le vaisseau tourna sur son axe et ensuite, après s’être balancé un peu dans l’espace, il se perdit dans l’inaltérable infini.
Je compris que ces hommes étaient de véritables hommes intergalactiques. Le petit vaisseau dans lequel ils étaient descendus retourna sûrement à son vaisseau mère qui était resté en orbite autour de la Terre. Ces surhommes voyagent dans ces vaisseaux-mères de galaxie en galaxie ; ils sont infiniment parfaits et ils sont au-delà du bien et du mal. Nous, les terriens, nous les détestons. Quand ils ont vu deux de leurs vaisseaux flotter au-dessus des États-Unis, il y a quelque temps, ils ont envoyé des avions de chasse dans le but de les détruire. Un des vaisseaux se perdit dans l’espace et l’autre descendit et se posa doucement sur une tour d’énergie électrique et, alors, se produisit la panne de New York qui affecta non seulement la nation des États-Unis mais même le Canada. Des généraux de l’armée américaine s’exclamèrent : « Voilà le talon d’Achille des États-Unis d’Amérique du Nord ! »
Réellement, les puissants titans du Nord ne peuvent rien faire sans la force électrique et eux, une poignée d’hommes pilotant un vaisseau, ont paralysé la puissante nation des États-Unis. Ainsi, si les extraterrestres avaient voulu détruire ce pays, ils l’auraient fait : c’était une question de secondes. De même, s’ils avaient voulu détruire la planète Terre, ils l’auraient déjà fait, mais ce ne sont pas des destructeurs, ils nous aiment et ils viennent dans le but de nous aider ; mais au lieu de les recevoir à bras ouverts, comme notre sauveur, nous les recevons à coups de canon ou nous les fuyons, désespérés, comme les cannibales fuient dans la montagne quand ils voient un avion. Voilà l’état lamentable dans lequel nous nous trouvons.
Les extraterrestres sont des gens cultivés qui ne tuent personne, pas même un oiseau, et les terriens en ont peur. Beaucoup diront : pourquoi les extraterrestres n’atterrissent-ils pas dans des villes comme New York, Paris, et ne se présentent-ils pas en public, ni ne donnent-ils pas des conférences ? Pourquoi fuient-ils ? Voilà ce que je répondrai à ces personnes : Si quelqu’un se trouvait dans une forêt profonde devant un groupe de cannibales, que ferait-il ? Il fuirait indéniablement, il n’aurait pas d’autre solution. Les extraterrestres pourraient se défendre, oui, ils peuvent bien le faire, mais ils n’ont pas le désir de détruire qui que ce soit, ce ne sont pas des assassins ; les terriens se trompent quand ils pensent que les extraterrestres vont les assassiner ; ce n’est pas vrai. Nous ne nions pas que quelquefois ils aient pris quelqu’un et qu’ils l’aient fait monter dans leur vaisseau, qu’ils l’aient emmené dans l’espace et ensuite qu’ils l’aient ramené là où ils l’ont pris. Oui, c’est certain.
Ceci est explicable. Je sais que les terriens sont très étranges, car ils ont la Conscience endormie, ils ressemblent à des somnambules dans les rues, terriblement pervers. Les terriens sont réellement des motifs de curiosité ; certains extraterrestres les emmènent pour les étudier dans les laboratoires qui existent dans l’espace, des laboratoires situés dans certains vaisseaux cosmiques ; ils les emmènent pour les étudier, car ils sont très étranges et ils attirent leur curiosité. Des êtres si bizarres comme les terriens, si endormis, si inconscients, si destructeurs, sont un motif de curiosité et c’est pourquoi ils les emmènent dans leurs laboratoires pour les étudier ; c’est la crue réalité, mais on ne leur fait aucun mal, on les ramène à l’endroit où on les a enlevés.
Bien sûr qu’un jour, et je vais parler de cela ce soir, il se produisit un cas insolite mais merveilleux. Un jour, un jour parmi tant d’autres, un vaisseau cosmique atterrit dans le jardin de la maison d’un étudiant d’une école orientale. Des extraterrestres sortirent de la trappe, descendirent par le petit escalier et s’approchèrent de lui. Ils l’invitèrent à monter et il accepta. C’était un homme vraiment spirituel dans le sens le plus complet du terme. Moi j’étais disposé à l’écouter. Quand il était en Afrique, quand on l’invita à faire une promenade dans l’espace, il accepta et il fut emmené sur un satellite de Jupiter, Ganymède. Là, il connut une puissante civilisation.
Les habitants de Ganymède ont le cerveau un peu plus volumineux : leur glande pinéale est connectée à la pituitaire par certains canaux nerveux et la pituitaire, à son tour, est connectée au nerf optique, de sorte que les habitants de ce satellite ont un sixième sens avec lequel ils peuvent voir la quatrième, la cinquième, la sixième et la septième dimension de la nature et du cosmos. Ils construisent leurs maisons sous terre, ils ont une agriculture florissante, ils n’ont pas d’animaux car l’environnement n’est pas favorable à leurs espèces inférieures. Ils puisent l’eau de certains volcans et avec cela ils pourvoient à leurs besoins. Tous les habitants travaillent dans leurs usines ; il n’y a pas d’argent, ils ne connaissent pas l’argent. En échange de leur travail, tous les habitants ont pain, abri, refuge, etc.
Les vaisseaux cosmiques sont la propriété de tous. Rien ne leur manque, ils n’ont pas besoin de cet élément qui s’appelle l’argent et qui fait tant de mal aux habitants de la Terre. Tels sont les habitants de Ganymède. Comme ils possèdent un sixième sens, ils étudient la médecine, ils voient mieux l’organisme, non seulement dans ses aspects physiques, chimiques ou biologiques, mais aussi dans ses aspects psychiques et vitaux. Ils connaissent l’anatomie purement extérieure et l’anatomie intérieure que malheureusement les hommes de science ne connaissent pas sur la planète Terre.
Ganymède est un satellite et il tourne autour du titan des cieux appelé Jupiter. Jupiter à douze satellites ; on dirait que Jupiter construit par lui-même un nouveau système solaire dans notre système. Personnellement, j’ai très souvent observé Jupiter. Avec les télescopes, on voit ses deux rubans au centre de l’équateur et Jupiter, avec ses douze satellites, est extraordinaire. Dans le sens le plus complet du terme, c’est un joyau des cieux.
Les habitants de Ganymède sont venus d’un monde qui s’appelait la Planète Jaune. Il est bon que vous compreniez qu’en d’autres temps il existait, dans notre système solaire, une planète sur laquelle les gens se livrèrent à des expériences atomiques, en élaborant des bombes de plus en plus destructrices et, à la fin, ils firent sauter cette planète en morceaux. Il en existe encore quelques fragments autour de notre système solaire et les astronomes le savent. Mais avant que cette catastrophe ne se produise sur la Planète Jaune, les habitants du monde avaient eu, face au dilemme de l’être et du non-être de la philosophie, un grand Avatar ou Messager. Il les avertit de la catastrophe qui les attendait. La plupart ne l’écoutèrent pas, d’autres l’acceptèrent ; ils s’affilièrent alors aux enseignements qu’il leur donnait. Il les prépara suffisamment et, à la fin, ils étaient prêts psychologiquement, prêts pour attendre la destruction et être emmenés sur la planète ; et ils s’y établirent.
Eh bien, l’ami dont je vous parle fut emmené sur Ganymède. En arrivant là-bas, ses maladies disparurent, il se revitalisa, il fut soumis à des traitements scientifiques spéciaux. Ils l’invitèrent à rester vivre chez eux. Il accepta à condition de retourner sur la planète Terre pour remettre ses biens à son frère. Il retourna et il remit toute sa fortune à son frère, il lui fixa une date pour lui dire adieu, car il partait pour cette planète. Le jour du souper, alors que l’on s’apprêtait à dormir, un très beau vaisseau atterrit et illumina le centre du jardin. « Je m’en vais », dit-il à son frère et à sa belle-sœur et ils furent surpris. « Ah, dit son frère, je m’en doutais ». Il monta dans le vaisseau et, alors qu’il montait, il s’exclama : « Je pars loin de cette planète Terre », et le vaisseau partit.
Avant de partir, il laissa à son frère un appareil qui ressemblait à une sorte de télévision. Il suffisait d’appuyer sur un bouton pour qu’il fonctionne ; cet appareil fonctionne à l’énergie solaire. Il a des antennes et c’est avec elles que l’on peut communiquer avec Ganymède. Dès lors, il communiqua avec Ganymède et son frère, désireux d’être aussi emmené un jour. Et finalement ce jour arriva et il fut emmené.
Les habitants de Ganymède ont une sagesse extraordinaire et ils se proposent d’emmener les terriens sur leur planète, car ils savent bien l’état dans lequel se trouvent les habitants de la Terre. Ils n’ignorent pas qu’une grande catastrophe va avoir lieu, ils n’ignorent pas qu’un géant des cieux appelé Hercolubus s’approche à une vitesse vertigineuse dans l’espace étoilé. Quand Hercolubus apparaîtra et que vous pourrez tous le voir à l’œil nu, vous serez convaincus de ce que je suis en train de vous dire.
Alors, cette masse planétaire attirera magnétiquement le feu de l’intérieur de la Terre, et des volcans jailliront de partout et de terribles tremblements de terres et de grands raz-de-marée se produiront ; toute la croûte de la Terre sera détruite, brûlée, incinérée, et lorsqu’Hercolubus sera au plus près, il y aura une révolution des axes du monde : les pôles se changeront en équateur et l’équateur en pôles et les eaux des océans recouvriront ces continents.
C’est ainsi que s’achèvera une humanité perverse, une humanité qui s’est livrée aux vices, une humanité qui a dégénéré dans l’homosexualité et le lesbianisme, une humanité destructrice où chaque peuple se lève contre l’autre, où chaque être humain lève la main contre son frère ; ainsi s’achèvera-t-elle dans peu de temps. Y aura-t-il des survivants ? Oui il y en aura, les habitants de Ganymède savent très bien cela. Ils emmèneront peu à peu les gens sélectionnés vers leur monde. Un type d’humanité très spécial naîtra là-bas et sera ramené sur Terre ; mais ce type d’humanité devra faire des merveilles, car on donnera à ce type de gens les facultés des habitants de Ganymède.
On mélangera cette humanité aux survivants qui seront restés sur la planète Terre, sur une île du Pacifique et c’est de là que naîtra la sixième race. Je dis la sixième race parce que la cinquième race est l’actuelle ; quatre ont déjà existé sur la face de la Terre et toutes ont fini dans de grands cataclysmes.
Rappelons-nous les Atlantes ; ils périrent dans les eaux lors du Déluge universel. Il y eut une révolution des axes de la terre et les mers engloutirent l’Atlantide avec ses millions d’habitants. Ce fut, je le répète, le grand Déluge universel ; c’est ainsi que périt la quatrième grande race.
Nous sommes la cinquième race et il est évident qu’elle périra aussi par le feu, les tremblements de terre et de grands raz-de-marée ; c’est pourquoi il est écrit dans le calendrier aztèque : « Les Fils du cinquième Soleil périront par le feu et les tremblements de terre ! »
Mes amis, en cet instant, il y a des aspects extrêmement importants qui touchent aux extraterrestres ; je me souviens du cas d’un homme qui est allé sur Vénus, Villanueva Medina. Je le connais personnellement, c’est un ami. Il conduisait une voiture près des États-Unis. La voiture tomba en panne et il resta avec la voiture dans le but de savoir ce qui s’était passé. Soudain, il entendit des pas sur le sable. Il sortit et trouva deux hommes sur le sable, de taille moyenne. Ils l’invitèrent à les suivre et ils l’emmenèrent sur la planète Vénus. Il resta cinq jours sur Vénus. Il y trouva une puissante civilisation et ensuite il fut ramené sur la planète Terre.
Dans la République du Salvador, il y a eu un autre cas insolite. Un de ces hommes sceptiques, matérialistes, était assis au fond d’un jardin ; un vaisseau atterrit à peu de distance de là. On l’invita à monter et on l’emmena sur Jupiter, directement sur la planète Jupiter. Il y resta plusieurs jours. Il y trouva une civilisation extraordinaire, il fut invité à rester là-bas : « Je ne peux pas, dit-il, car je dois retourner chez les terriens ». Ils le ramenèrent au Salvador où cet homme se dédia alors à l’étude de la Gnose ; je crois qu’il en donne le témoignage dans un livre.
Oui, les terriens existent, mais ils n’existeront pas toujours. Actuellement, il y a certains habitants de la Terre qui apprennent des procédés de mathématiques tels que les voyageurs de l’espace infini les leur ont appris. Ils pourraient, s’ils voulaient, faire sauter la Terre en morceaux, mais ils ne sont pas destructeurs, ils viennent nous aider à la veille du grand cataclysme qui s’approche, ils veulent nous aider. Certains d’entre eux se sont cachés dans certains lieux de la Terre et, quand viendra le moment opportun, ils entreront en activité. Par exemple, dans l’Antarctique, il y a une ville souterraine où vit un groupe d’extraterrestres qui appartiennent à la Galaxie Bleue ; ce sont des hommes à la peau bleue.
Évidemment, ils ont construit une ville sous la glace où ils ont toutes sortes de commodités, d’engins électriques. Ce sont des savants par nature. Un roi très sage les gouverne et quand la catastrophe s’approchera, les hommes de la Galaxie Bleue marcheront dans les rues des villes pour essayer de secourir ceux qu’ils pourront. Avant que cet incendie ne dévore la face de la Terre, les hommes de la Galaxie Bleue apparaîtront pour enseigner à l’humanité le chemin de la rectitude. Ainsi, ceux qui les écouteront ces jours-là seront secrètement sauvés.
Mes amis, comme il y a une autre conférence et que nous devons respecter les autres, c’est avec un amour profond, de cœur à cœur, de bien à bien et d’amour à amour, que je dois prendre congé de vous tous ici, dans cet auditorium.