Mission de la Femme dans l’Ère du Porteur d’Eau
MISSION DE LA FEMME DANS L’ÈRE DU PORTEUR D’EAU
Conférence de Samaël Aun Weor
Le Cinquième Évangile
C’est avec le plus grand désir que je m’adresse aux dames gnostiques de notre Mouvement Gnostique au Venezuela et de notre Sainte Église Gnostique (dans ce beau pays).
Assurément, en cette Ère du Porteur d’Eau, la femme a une mission spécifique, définie, à accomplir ; au nom de la vérité, nous dirons qu’elles, celles de la Sainte Prédestination, peuvent ÉLEVER LES HOMMES VERS LES RÉGIONS DE LA LUMIÈRE.
C’est AU MOYEN DE LA SUBSTANCE DE L’AMOUR que la femme rachète l’homme, qu’elle l’illumine et le mène à la transformation intégrale.
La femme, l’Éternel Féminin, enveloppe la planète entière de ses regards de lumière. Elle, l’ineffable, représentant toujours le principe maternel, aide l’homme et elle le conduit sagement jusqu’à sa propre autoréalisation.
La femme, en tant que mère, élève ses enfants, elle leur donne de la nourriture, elle les habille, elle les nourrit de ses sages conseils ; comme principe maternel, représentant l’Éternel Féminin, elle les conduit jusqu’à l’âge de la majorité.
Beaucoup plus tard dans le temps, lorsque nous nous rappelons l’éternelle petite maman, l’Éternel Féminin qui nous a tant aidés, nous ne pouvons pas mieux que nous prosterner à terre et adorer Dieu-Mère.
Si elle a le pouvoir de former l’homme dans ses entrailles, si elle a le pouvoir de l’amener à l’existence, de le nourrir et de l’élever, si elle a le pouvoir de le transformer spirituellement au moyen de la régénérescence sexuelle, elle a aussi le pouvoir de coopérer avec la Grande Cause pour aider, de manière amoureuse, l’Église Gnostique et le Mouvement Gnostique en général.
On est rempli d’allégresse en contemplant ces belles dames travaillant fébrilement pour aider l’humanité ; on est rempli d’allégresse lorsqu’on les voit faire leurs pâtisseries ou vendre leurs cafés, dans l’unique intention d’aider le Logos Solaire, dans ce travail fébrile de la Nature.
L’AMOUR EST LE FONDEMENT, ET LA FEMME EST AMOUR. L’Amour est SAGESSE, et dans la femme resplendit l’éclat de l’Amour et le feu sacré de la sagesse.
Ainsi donc, nous attendons de la femme un travail de plus en plus intense, dans le but de faire du Concile Gnostique (qui s’approche), un grand événement ; nous attendons de la femme la plus grande coopération pour que le Mouvement Gnostique Vénézuélien et la Sainte Église resplendissent de manière éclatante dans tout l’univers.
La femme, qu’elle soit symbolisée par la Chaste Diane, que nous la représentions par la Belle Hélène ou par la Joconde de Léonard de Vinci, est la cause fondamentale de tous nos désirs.
En elle se trouve l’impulsion de base qui peut nous mener à la régénérescence, et en elle se trouve la force merveilleuse qui peut nous transformer et faire de nous de véritables Dieux, dans le sens le plus transcendantal du terme. Elle, que nous l’appelions Minerve en tant que Sagesse ou Isis en tant qu’Amour, elle renferme en elle-même la manne du désert dont s’alimentent les Dieux Saints.
Bénie femme, depuis le Serpent Sacré et dans la flamme du désert, nous t’invoquons !
Bénie femme, sans toi, nous, les hommes, nous ne valons rien !
Que la paix soit avec vous, femmes ineffables !
J’ai parlé pour vous !