Septième Chaire d’Anthropologie Gnostique

SEPTIÈME CHAIRE D’ANTHROPOLOGIE GNOSTIQUE

Conférence de Samaël Aun Weor

Le Cinquième Évangile

Nous allons continuer aujourd’hui nos conférences concernant l’Anthropologie Gnostique Scientifique. En réalité, la planète Terre mérite d’être étudiée à fond. Les habitants de la Terre veulent voyager vers d’autres mondes alors qu’en réalité et en vérité, ils ne connaissent même pas encore le monde sur lequel ils vivent.

Sur toute la planète, on trouve plusieurs faits, événements, phénomènes, complètement méconnus de la science officielle. Il n’est pas superflu de rappeler certains événements qui se produisent dans les mers. Commençons par faire des rappels, ne serait-ce que de certains phénomènes qui surviennent à certaines créatures des océans.

En 1917, on a observé sur la côte du Massachusetts (États-Unis) un serpent marin qui mesurait 27 mètres de long. La Société des Naturalistes de Boston l’a étudié attentivement. On ne l’a jamais revu dans ces parages ; c’est évident.

Un chalutier, par exemple, a capturé un têtard à l’état larvaire, qui mesurait deux mètres de long. Si on l’avait laissé se développer, d’après les calculs des naturalistes, il aurait atteint une longueur de 22 mètres. C’est un type de créatures qui, en général, est méconnu. Comment vivent-elles ? Que font-elles ? Où se développent ces créatures ? Pourquoi existent-elles ?

Pensons au fameux « poisson bleu », que l’on considérait comme disparu. On l’a toujours appelé de façon poétique, sous un nom qui nous rappelle le chant, la voix, la poésie. Je fais référence, franchement, au CŒLACANTHE. Cet animal est un peu étrange. Il a des extrémités semblables à celles des êtres humains et il vit spécialement au fond de l’océan Indien. N’oublions pas que c’est dans cet océan Indien, précisément, qu’a existé la Lémurie. Ceci signifie qu’actuellement ce poisson continue d’exister dans la Lémurie même. Il vit dans les profondeurs et ne monte que très rarement à la surface.

Incontestablement, les grandes profondeurs de l’océan Indien sont extraordinaires. L’existence d’un animal antédiluvien en plein XXe siècle nous donne beaucoup à penser. Pourquoi existe-t-il en plein XXe siècle ? À quoi cela est-il dû ?

Un jour, on a trouvé les restes fossilisés d’un de ces poissons. On calcula qu’ils dataient de dix-huit millions d’années. Le Cœlacanthe était très répandu il y a soixante millions d’années. La forme du Cœlacanthe est étonnante. Le fait qu’il ait les extrémités développées, c’est-à-dire les membres semblables aux bras, aux mains ou aux pieds de l’être humain, attire l’attention. Il existe toujours.

Une créature antédiluvienne existant en plein XXe siècle ? Que pourraient dire les anthropologues matérialistes d’une telle créature ? Quelle serait leur conception ? Tout ceci nous invite à une profonde réflexion.

Et que dire, en vérité, du MONOSAURE ou ICHTYOSAURE des temps archaïques ? Il continue d’exister dans les profondeurs terribles du Pacifique. Que savent les hommes de science à ce sujet ? Absolument rien. Il convient donc vraiment que nous poursuivions l’exploration de toutes ces questions afin de nous en faire une idée claire et précise.

Les anguilles, par exemple, s’avèrent assez intéressantes. Nous savons bien que certaines anguilles provenant d’Europe et d’Amérique se donnent rendez-vous dans la Mer des Sargasses afin de se reproduire. Mais ce qui est intéressant, c’est qu’elles ne reviennent jamais à leur point de départ originel. Ceux qui y retournent, ce sont leurs enfants. Comment cela se fait-il ? Pourquoi est-ce que ce ne sont pas les parents mais les enfants qui y retournent ? Comment les anthropologues de la science matérialiste pourraient-ils expliquer cela ? Que savent-ils à ce propos ? Je suis sûr qu’ils ignorent tout de ces questions.

Étudions le cas du thon. En réalité, c’est vraiment quelque chose qui mérite réflexion. Les thons qui partent du Brésil se dirigent vers l’Ecosse ; après quoi ils se rapprochent de l’Europe et passent à proximité de la Méditerranée. Mais il est rare qu’un thon pénètre dans la Méditerranée. Que pourraient dire les hommes de science à ce sujet ? Pourquoi les courants migratoires du thon ne pénètrent-ils pas dans la Méditerranée ? Qui les dirige ? Pourquoi agissent-ils ainsi ? À quelle époque ces messieurs de l’Anthropologie matérialiste ont-ils pris position au sujet de ces questions ? S’ils prétendent avoir la Sagesse de l’Univers, pourquoi n’ont-ils jamais parlé de ces sujets ? Vraiment, en réalité, ces gens matérialistes « non seulement ignorent, mais ce qui est pire, ils ignorent qu’ils ignorent » et c’est très grave.

Il y a de grands calamars, monstres géants dotés d’énormes tentacules, dont la Science matérialiste n’a jamais parlé. On a découvert des traces de ces tentacules sur les baleines. Incontestablement, tout ceci indique de grandes luttes dans les régions abyssales.

Il y a aussi des « poissons caïmans » d’origine inconnue, dont l’Anthropologie matérialiste n’a jamais parlé.

Pour aller plus avant, nous parlerons également de certains phénomènes inconnus de ces messieurs matérialistes. Nous savons bien qu’il existe des fleuves dans la mer elle-même, à des centaines de mètres de profondeur et qu’ils circulent dans des directions opposées. Comment cela se fait-il ? Pourquoi un fleuve voisin d’un autre avance-t-il dans une direction opposée, et ce, dans l’océan lui-même ?

Nous savons bien que ces fleuves ont un mouvement giratoire : ceux de l’hémisphère Nord tournent de gauche à droite, dans le sens des aiguilles d’une montre vue de face ; ceux de l’hémisphère Sud tournent en sens inverse ; mais pourquoi le courant du Benguela ne tourne-t-il pas ? Que se passe-t-il ? Quelle explication la Science matérialiste donnerait-elle sur ce point précis ? Pourquoi les stupides scientifiques se taisent-ils ? Que peuvent-ils nous dire de tout cela ?

Face à la côte du Pérou, à 1500 mètres de profondeur, on a pu observer des colonnes d’ÉDIFICES ATLANTES bien taillées, bien ciselées. On a réussi à prendre de tout cela des photographies magnifiques. L’existence de l’Atlantide est ainsi démontrée. Mais, les stupides scientifiques continueront comme toujours, à nier, nier et nier.

Il y a des civilisations disparues, comme celle de l’ÎLE DE PÂQUES, où existent aujourd’hui des EFFIGIES GIGANTESQUES, d’énormes têtes humaines taillées par des mains de géants. La Science matérialiste n’a jamais rien dit là-dessus. Elle se tait, se tait, se tait.

Que dire de l’ANTARCTIQUE ? Il n’y a pas de doute qu’avant la révolution des axes de la Terre, de puissantes civilisations ont vécu sur les pôles Nord et Sud. Il est indubitable qu’il doit subsister des restes de ces TRÈS ANCIENNES CULTURES sous les glaces de l’Antarctique. Un jour viendra où la pelle des archéologues pourra les exhumer. Entre-temps, la Science matérialiste se tait, elle se tait comme toujours, sans fournir d’explications.

Il y a aussi des VAGUES GIGANTESQUES, MONSTRUEUSES, dans des mers tranquilles et sereines ; des vagues isolées qui n’ont pas de raison d’être, de justification précise. Quelle est leur origine ? Quelque tremblement de terre sous-marin ou quoi ? Comment ces messieurs, scientifiques matérialistes, pourraient-ils expliquer cela ? Que diraient les ennemis de l’Éternel à ce propos ? En réalité et en vérité, « non seulement ils ignorent, mais en outre, ils ignorent qu’ils ignorent ».

Qu’il y ait des vagues dans les mers furieuses, d’accord, mais que dans une mer tranquille il y ait une vague isolée, solitaire, gigantesque et monstrueuse, sans qu’on sache pourquoi, est une chose qui n’a jamais eu d’explication scientifique. Pourtant, ces faits se produisent dans l’océan et la science matérialiste n’a jamais pu les expliquer, jamais.

Dans la CORDILLÈRE DE L’ATLANTIQUE (je fais référence à une cordillère sous-marine), où existait autrefois le grand Continent Atlante, il se produit près de cent mille tremblements de terre par an et ceci est intéressant. Nous savons bien que de terribles TREMBLEMENTS DE TERRE et de grands RAZ-DE-MARÉE ont mis fin au Continent Atlante. Mais, aujourd’hui encore, en plein XXe siècle, l’Atlantide submergée continue à trembler !

Il convient de réfléchir sur tous ces sujets car, dans le fond, ils sont assez intéressants. Incontestablement, les anthropologues matérialistes ne connaissent pas la planète Terre. En réalité et en vérité, ce monde, la Terre, continue d’être une véritable énigme pour la Science matérialiste.

Certaines langoustes couvertes de piquants se réunissent en quantités suffisantes pour former une migration et elles descendent lentement par la plate-forme continentale, en avançant jusqu’à la plaine abyssale dans une direction inconnue. Que disent sur ce point les hommes de science ? Quelle explication donnent-ils ? Où se dirigent-elles ? Quel est leur but exact ? Pourquoi accomplissent-elles ce genre de migrations ? Mystère ! Mystère que les scientifiques matérialistes ne comprennent pas !

Notre planète Terre, mes amis, n’a pas toujours été comme maintenant ; sa physionomie géologique a changé plusieurs fois. Si nous examinons les QUATRE CARTES D’ELLIOT SCOTT, nous verrons qu’il y a un million d’années la Terre était complètement différente.

Ces quatre cartes géographiques méritent d’être prises en considération. Elles ressemblent aux quatre cartes qui ont existé et qui existent encore dans certaines cryptes souterraines de l’Asie Centrale. Ces cartes sont inconnues des pédants de la Science matérialiste. Elles sont gardées secrètement afin d’être conservées intactes car nous savons bien que ces messieurs de la Fausse Science sont toujours prêts à tout altérer afin de justifier leurs si fameuses théories.

La première de ces cartes d’Elliot Scott attire tout particulièrement notre attention ; elle s’avère extrêmement intéressante. On peut y voir comment était le monde, environ huit cent mille ans avant Jésus-Christ. Alors, la région des brachycéphales de l’illustre Anthropologie ultramoderne n’existait pas.

Depuis le DÉTROIT DE BÉRING, en passant par la Sibérie et l’Europe, jusqu’à la France et l’Allemagne, la seule et unique chose qu’il y avait, c’était de l’eau ; ni la Sibérie, ni l’Europe n’avaient, à proprement parler, surgi du fond des océans.

De l’Afrique, il n’existait que la partie orientale, car l’ouest et le sud de ce continent étaient encore sous les flots tumultueux de l’océan. Ce petit continent, que constituait alors l’Afrique Orientale, était connu sous le nom de GRABONTZI.

L’Amérique du Sud était ensevelie sous les eaux de l’océan ; elle n’était pas encore venue à l’existence. Les États-Unis, le Canada et l’Alaska, tout cela était submergé dans l’océan, et, cependant, le Mexique existait !

Il semble incroyable que huit cent mille ans avant Jésus-Christ le Mexique existât déjà. Alors que l’Europe n’existait pas encore, le Mexique existait ! Alors que l’Amérique du Sud n’était pas encore sortie du fond de l’océan, le Mexique existait !

Cela nous invite à comprendre que dans les entrailles de cette TERRE SACRÉE DU MEXIQUE, aussi archaïque que le monde, il existe des trésors archéologiques et ésotériques extraordinaires qui n’ont pas encore été découverts par la pelle des archéologues.

La LÉMURIE était, à cette époque, un gigantesque continent qui occupait l’océan Pacifique, qui couvrait toute la zone de l’Australie, de l’Océanie, de l’Océan Indien – qui est si gigantesque – et s’étendait sur tout le Pacifique jusqu’à cet endroit où, plus tard, devait surgir l’Amérique du Sud. Voyez comme la Lémurie était gigantesque, comme elle était énorme !

La physionomie du globe terrestre était donc complètement différente, huit cent mille ans avant Jésus-Christ.

La Capitale de l’ATLANTIDE était TOYAN, la ville aux sept portes d’or massif.

Les anthropologues matérialistes, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, demanderont sur quoi nous nous basons pour pouvoir parler de cette grande capitale. À ces messieurs qui ont tant travaillé pour enlever à l’humanité ses valeurs éternelles et la précipiter sur le chemin de l’Involution, je tiens à dire que nous disposons de données exactes pour pouvoir parler de la Lémurie, qu’il existe des cartes, conservées très secrètement dans certaines cryptes souterraines, qui indiquent où se trouvait Toyan, la capitale de l’Atlantide.

Par conséquent, lorsque nous en parlons, nous le faisons en pleine connaissance de cause. Nous citons la Lémurie et l’Atlantide, parce qu’elles ont été des continents qui ont eu une existence réelle. Nous savons bien que Darwin lui-même a accepté l’existence de la Lémurie.

Toyan était située dans un angle, au sud-ouest de ce grand pays, face à la côte Sud-ouest d’une frange de terre qui s’étendait clairement jusqu’à la Loire, jusqu’à la Méditerranée et l’Est de l’Afrique et s’étirait enfin jusqu’au sud de l’Asie qui existait déjà.

L’Atlantide elle-même s’étendait du Brésil jusqu’aux Açores – ceci est totalement prouvé – et de la Nouvelle-Ecosse, directement tout le long de l’océan Atlantique.

Alors, en réalité, l’Atlantide couvrait dans sa totalité la superficie de l’océan qui porte son nom. C’était un grand pays. Imaginez-vous un instant l’Atlantide s’étendant des Açores à la Nouvelle-Ecosse et descendant jusqu’à l’endroit où se trouve aujourd’hui le Brésil. Ce continent était énorme ! Il s’étendait du Nord au Sud ; il était grandiose. Il a sombré à la suite d’incessants tremblements de terre. Il fallut plusieurs catastrophes pour que l’Atlantide disparaisse définitivement.

Ainsi, véritablement, la scène du monde a connu des changements, la physionomie de ce globe terrestre n’a pas toujours été la même, et c’est là que les différentes races humaines se sont développées.

Nous avons besoin véritablement d’étudier attentivement la physionomie du monde dans les temps antiques, les différents changements géologiques par lesquels la Terre est passée. C’est ainsi seulement que nous pourrons nous faire une idée claire et précise de l’origine de l’Homme, de ses différentes cultures, de ses divers processus évolutifs et involutifs.

Mais si, malheureusement, nous restons complètement embouteillés dans tous les préjugés contemporains, nous ne connaîtrons rien, en vérité, sur la géologie et encore moins sur les processus d’évolution et de développement de la race humaine.

Il faut s’enquérir, rechercher et analyser un peu. Il y a beaucoup d’énigmes sur la planète Terre qui sont inconnues de la Science officielle. Comment est-il possible, par exemple, que l’Ichtyosaure ou Monosaure, qui a appartenu à des époques comme celles du Pliocène, continue d’exister en plein XXe siècle dans les grandes profondeurs du Pacifique ? Ce sont des énigmes que, jusqu’à présent, la Science matérialiste n’a pas pu véritablement déchiffrer, ni comprendre.

À travers ces chaires, nous devrons faire connaissance avec les différentes scènes du monde. Nous devrons faire la lumière dans les ténèbres. Et une fois que nous aurons posé les fondements scientifiques de l’Anthropologie gnostique, nous reverrons alors les anciennes cultures. Il est indispensable de savoir, par exemple, comment les Pélasges sont apparus en Europe. Il est nécessaire de connaître les cultures archaïques. Il faut savoir ce que fut la civilisation des Hyperboréens et des Lémuriens.

Mais avant tout, il faut étudier les différents changements géologiques par lesquels la planète Terre est passée. Nous savons bien que chaque race a eu son cadre. Nous devons donc connaître le milieu ambiant, le climat, les conditions dans lesquelles a dû vivre chaque race. C’est indispensable, urgent.

Lorsqu’on dit, par exemple, que « les cultures d’Amérique sont venues par le détroit de Béring, depuis le continent asiatique », ce qu’on affirme est épouvantablement faux, car les cartes antiques démontrent que le détroit de Béring, la Sibérie, le Canada et les États-Unis n’existaient pas encore !

Il y a huit cent mille ans, le Mexique possédait une population importante, merveilleuse, séparée du détroit de Béring par les grands océans. Ainsi, la Science matérialiste parle de ce qu’elle n’a pas vu, de ce dont elle n’est pas certaine. Nous, nous parlons sur la base de cartes, comme celles d’Elliot Scott et d’autres semblables qui se trouvent dans les cryptes souterraines de la chaîne de l’Himalaya, en Asie Centrale.

Quand on affirme que « la Race Humaine est arrivée en Amérique par le détroit de Béring », on démontre par là une grande ignorance et une méconnaissance totale des antiques cartes géographiques. C’est avec des bobards de ce genre que les anthropologues matérialistes trompent l’opinion publique et abusent l’intelligence des lecteurs.

Nous, je le répète, nous aimons l’investigation scientifique, l’analyse consciencieuse. Nous ne nous donnons pas le luxe d’accepter les théories matérialistes, parce qu’en réalité elles sont comme un mur sans ciment à qui il suffit de donner un léger coup pour qu’il tombe en petits morceaux. Nous ne commettons pas la bêtise de nous laisser duper par des bobards basés sur de fausses utopies. Nous possédons des cartes géographiques et je suis sûr que les lecteurs de cette œuvre comprendront bien notre position lorsqu’ils étudieront les cartes géographiques que nous allons décrire à l’humanité dans ce livre.

Ce soir, je termine sur ces paroles. Maintenant, les frères peuvent poser les questions qu’ils veulent sur ce thème. Mais, s’il vous plaît, ne posez pas de questions d’Antichambre, de Première Chambre, ni de Seconde Chambre. Si vous posez des questions, elles doivent être scientifiques, basées sur le thème que nous venons de développer et non sur un autre thème.

Question. Maître, dans une revue […] j’ai lu à propos d’une recherche qu’avait faite un anthropologue […] je crois, vers le Nord de la Vallée du Mexique, où il a redécouvert la ville qu’avait découverte un autre anthropologue et qui semblait être une ancienne colonie lémure, dit-on. Et là, effectivement, on a pu vérifier une ancienneté de 15 000 à 50 000 ans. Je crois même qu’ils ont découvert certains manuscrits qui avaient leur parallèle avec des manuscrits birmans. Cela peut-il avoir une certaine réalité ?

Maitre. Mais dans quelle région l’a-t-on effectuée ?

Question. C’était dans le Nord de la Vallée du Mexique ; c’est paru dans une revue mexicaine : « Doute ».

Maitre. Bon, je vais te dire : 15 ou 20 000 ans, c’était hier ; le temps de nous frotter un œil et c’est déjà passé ! En réalité, ce n’est rien. Pensons au célèbre Cœlacanthe, ce poisson bleu qu’on croyait disparu et qui vit dans les profondeurs de l’océan Indien, c’est-à-dire qu’il vit encore en Lémurie, en plein XXe siècle (puisque la Lémurie est submergée dans l’océan Indien) ; il existait il y a 60 millions d’années ; il était très connu. Et les restes fossiles d’un exemplaire ont été analysés et ils dataient de 18 millions d’années.

De sorte que la cité que tu viens de nommer, datant d’environ 20 000 ans, elle date d’hier ; c’est donc celle d’une culture ancienne sur laquelle nous n’avons pas encore investigué mais qui en vaut la peine. C’est incontestablement l’une des nombreuses cultures qui ont existé ici, dans l’ancien Mexique, dans ce Mexique très ancien.

Question. Mais, le fait est que […] il paraît qu’il y avait pas mal de documents à l’appui de cette recherche et pourtant l’Anthropologie officielle a insisté pour que ce genre d’investigation ne soit divulgué sous aucun prétexte.

Maitre. L’Anthropologie officielle essaye indubitablement de cacher ce qui peut être en dehors de ses théories. Nous savons bien, par exemple, qu’en ce moment la Science officielle ne veut pas qu’on en sache davantage. La NASA, par exemple, a caché tout ce que les astronautes ont pu voir pendant leurs explorations sur la Lune, par rapport à des navettes spatiales. Tout cela est tenu secret.

Une navette spatiale est tombée, par-là, près de Puebla. J’ai compris que cette navette a été emmenée par la NASA. Sur les membres de l’équipage, sur les blessés qu’il y a eu, sur ceux qui n’ont pas été blessés, on a gardé un terrible silence, bien que deux d’entre eux, paraît-il, soient détenus aux États-Unis. Et on est en train de cacher tout ce qui a une certaine saveur ésotérique, une certaine saveur cosmique, etc.

Pour l’instant, à Puebla, selon des rapports que nous avons reçus, tous ceux qui savent quelque chose sur la Navette Spatiale se taisent, aucun ne veut parler du fait qu’il y a eu des menaces et s’ils parlent. Enfin, il y a une source de terreur qui les oblige à devoir se taire.

La Science officielle ne veut pas qu’on sache quoi que ce soit de ces choses ; elle s’obstine à tenir l’humanité dans l’ignorance la plus complète. C’est la crue réalité des faits. (Entre parenthèses, ce que je suis en train de vous dire à propos des navettes spatiales n’appartient pas à la question que nous avons enregistrée pendant la conférence).

Question. Maître, dans vos conférences vous nous avez enseigné que les continents flottent ; donc, pour quelle raison […] y a-t-il davantage d’eau ? Autrement dit, ce qui domine ici, sur la planète Terre, ce sont les mers, les océans. Quelle relation cosmique y a-t-il avec la planète Terre, ou quelle signification cela a-t-il ?

Maitre. Indiscutablement, à présent c’est comme ça ; parce qu’au temps de la Lémurie, ce continent avait une étendue énorme ; il couvrait presque tout le Pacifique. Il semblait alors qu’il y avait un certain équilibre entre l’eau et la terre. Maintenant, il y a davantage d’eau que de terre, parce que ces grands continents ont été submergés. Évidemment, si un continent aussi grand que celui de la Lémurie qui couvrait tout le Pacifique a été submergé, pourquoi ces petits bouts de terre qu’il y a maintenant ne seraient-ils pas submergés ? Tout cela sera avalé par l’océan.

Cependant, il est très intéressant de savoir que le Mexique existait à cette époque et qu’il n’a pas été submergé ; il y avait là de puissantes civilisations avec leurs temples. Donc, la terre du Mexique est très sacrée puisqu’elle est archaïque ; elle provient des temps les plus anciens de la Terre.

Il est évident que les continents flottent. Comme je vous l’ai déjà expliqué dans une précédente conférence, la Terre a plutôt la forme d’un œuf, d’un œuf d’oiseau : une espèce de jaune – qui sont les continents – flotte sur la substance pâteuse, fluidique, du blanc d’œuf. Alors, ce jaune, c’est-à-dire ces continents flottent ; ils s’attirent, se rapprochent, s’éloignent, etc. C’est très connu et on en a donc parlé dans l’Anthropologie sur la Pangée, qui n’est autre que le Supercontinent ou tous les continents réunis qui n’en forment qu’un seul et qui tantôt se rapprochent, tantôt s’éloignent.

La Terre est assez complexe, car elle est, non seulement, soumise au mouvement des continents, mais de plus, et cela est assez intéressant, elle est soumise au mouvement de la révolution des axes de la Terre.

Par exemple, à l’époque de l’Atlantide, les pôles avaient une position très différente. Le Pôle Nord était situé sur la ligne équatoriale, dans la région la plus orientale de l’Afrique où, aujourd’hui, se trouve […] Et le Pôle Sud était projeté dans la région la plus occidentale de la ligne équatoriale, et dans le sens opposé, bien sûr, à celui du Nord.

La physionomie du globe terrestre a sans cesse changé et elle est en train de changer actuellement. Nous savons bien que les déserts sont en train d’avancer terriblement. J’ai observé un jour une carte sur l’avancée des déserts. La planète Terre est en train de devenir un désert.

Et si la Grande Catastrophe tardait trop, la Terre serait transformée en une nouvelle Lune avant l’heure. Toute la Terre deviendrait comme une boule de billard, sans aucune espèce de végétation, les mers transformées en véritables poubelles, polluées par les radiations et par la pourriture d’une humanité perverse.

Heureusement, la Grande Catastrophe s’approche et elle arrivera au Katun-13. Alors, toute la Terre retournera à un état chaotique, pour qu’à partir de là surgisse une nouvelle Terre régénérée, transformée.

L’Évangile de cet Âge futur qui arrive, de cet Âge d’Or, de cet Âge Solaire, est l’Évangile de Luc ; c’est pourquoi on parle de l’Évangile de Luc selon le Soleil, selon la Lumière. De même que l’Évangile de Matthieu est l’Évangile selon la Science.

L’Évangile de Matthieu nous parle des changements actuels, des catastrophes qui approchent, des grands séismes, des guerres, de la destruction complète de toute cette humanité ; mais l’Évangile de Luc nous parle du Nouvel Âge, de l’Âge d’Or qui approche.

Il est évident que l’humanité est en train d’en finir avec la faune et la flore, et que les déserts avancent terriblement de toutes parts. Observons une carte où se trouvent les déserts ; c’est terrible. Une autre question.

Question. Oui, les différentes manifestations de la race actuelle, que ce soient les noirs, les jaunes ou les blancs, quelle est la relation avec cela, Maître ?

Maitre. Bon, cela fait partie de futures conférences. Maintenant, nous étudions seulement les scènes […] Certains ont été peuplés de gens, pour commencer à expliquer comment chaque race s’est formée. Mais, dans la plaine abyssale, non. Les plaines abyssales existent dans tous les océans, de sable pur.

Évidemment, en réalité, chaque continent a donc sa pente, n’est-ce pas ? La pente de la plateforme ; c’est clair. Ces migrations de langoustes marines pleines de piquants qui descendent de la plate-forme continentale vers la plaine abyssale, dans des directions inconnues, eux, ils ne connaissent pas ces choses-là. Naturellement, nous savons très bien que toutes ces créatures élémentales sont dirigées par des Intelligences : ce sont les Devas. Mais eux, ils ne connaissent pas ces choses.

Ils ne savent pas que ce sont les Devas qui dirigent la marche de ces langoustes vers certains lieux précis de l’océan, avec un objectif défini, précis, celui de la reproduction ; et non seulement celui de la reproduction, mais pour leur donner un enseignement ; parce que ces créatures sont guidées par leurs directeurs spirituels qui sont les Devas. On les emmène vers certaines régions de l’océan pour les instruire, pour leur donner un enseignement.

[…] Indubitablement, des cartes de l’Asie Centrale ; des cartes secrètes qui existent dans certaines cryptes souterraines. On ne pourrait pas, sinon, expliquer le fait qu’elles soient absolument identiques aux cartes qui existent dans les cryptes souterraines des Himalayas.

Question. Maître, dans une certaine conférence, un jour, on nous disait que les allemands ont fait des études approfondies sur toutes ces différences […] Et qu’ils ont même rassemblé ces études dans un livre ; est-ce que c’est vrai ?

Maitre. Eh bien, ils ont aussi fait des recherches et il n’y a pas de doute que, dans chaque pays, il ne manque pas certains groupes de gens de bonne volonté […] qui prennent quelques données.